WakeUp #76 : Les gens heureux ont un secret !

 

Pour aborder le quotidien dans toutes ses dimensions, un esprit rationnel et logique ne suffit pas. Celui-ci est bien-sûr nécessaire, car il nous permet d’organiser nos connaissances, de comprendre et d’apprendre à partir de nos expériences personnelles. Mais pour devenir conscients de la façon dont nos pensées et nos émotions influencent les évènements qui s’agencent autour de nous, nous devons aussi apprendre à utiliser notre intelligence créative, intuitive et sensible. C’est alors que nous pouvons revenir dans l’espace de notre coeur et mettre en lumière nos vraies valeurs.

Le célèbre psychiatre Carl Gustav Jung définit quatre fonctions pour appréhender la réalité, dont l’importance respective caractérise les différents profils psychologiques : la pensée (rationnelle), le sentiment, la sensation et l’intuition.
Ce n’est qu’en apprenant à utiliser toutes nos fonctions psychologiques que nous pouvons devenir un être accompli, c’est-à-dire véritablement maître de son destin.

En utilisant notre intuition, nous avons la réelle capacité de provoquer des occasions favorables, des coups de chance qui se répercutent sur tous les domaines de notre vie. Chacun de ces coups de chance est une occasion de vérifier l’extraordinaire potentiel créateur et intuitif dont nous disposons. Et nous découvrons combien nous pouvons agir sur notre destinée et concrétiser ce qui nous rend  vraiment heureux. Ecouter notre intuition, c’est entrer en résonnance avec le pouvoir du coeur !

En vous familiarisant avec votre processus intuitif, vous comprenez comment interpréter de manière juste les messages de toutes sortes qui vous parviennent. Peu à peu, vous apprenez à devenir pleinement conscients du monde qui vous habite et du monde qui vous entoure. Vous comprenez mieux les liens et les échanges permanents qui existent entre ces deux mondes, extérieur et intérieur. Vous accédez à votre vérité intérieure, comme celle de l’autre. Vous pénétrez derrière l’apparence des choses.

Au quotidien, l’intuition donne la main à la confiance !

En effet, la confiance que vous accorderez à votre intuition se développera au fur et à mesure que les faits viendront valider votre intuition. Cela vous fera comprendre qu’elle n’est pas un pouvoir surnaturel réservé à quelques-uns, mais bien une capacité dont chaque humain dispose. Si vous la développez, elle vous donnera une vraie orientation sur l’action juste à accomplir.

L’intuition peut être utilisée chaque jour et pour toutes sortes de questions. Grâce à votre persévérance, l’énergie dynamique de l’intuition amènera un véritable changement, intérieur tout autant qu’extérieur. En vérifiant les résultats que vous obtiendrez au fur et à mesure de votre travail, vous saurez que vous pouvez vous fier à elle car elle vous aura permis de prendre les bonnes décisions et vous remarquerez qu’il deviendra beaucoup plus facile de faire des choix et de prendre des décisions dans votre vie.

Chacun a un impact sur le monde et pourrait rendre l’humanité plus juste... en cultivant le respect envers lui-même et donc envers autrui et la Nature. Nous sommes dans un passage où il devient impérieux de réveiller notre conscience, notre intuition et notre coeur.

En se changeant soit-même, on change le monde !

Certains se sentent heureux et veulent l’être davantage, d’autres ont tout pour être heureux mais ne le sont pas, d’autres encore croient que le bonheur n’est pas pour eux. A tous ceux-là et à ceux qui ne savent pas comment utiliser leur intuition et qui désirent apprendre à le faire… car oui cela s’apprend, vous pouvez aussi suivre le prochain module de la Formation :

Développez Votre Intuition
qui aura lieu du 12 au 14 octobre 2018 à Roussas (Drôme).

Cette formation de 3 jours vous permettra d’apprendre une méthodologie simple et efficace et de comprendre comment actionner votre sagesse intérieure afin d’augmenter votre confiance en vous pour prendre les décisions les plus justes dans votre vie quotidienne.

Pour tout renseignement, merci de me contacter par mail :
contact@georgiavergier.fr
ou par téléphone au 06 78 21 69 22

Découvrez la force de l’intuition,
comment la suivre en toute confiance dans la vie quotidienne

Fiche détaillée de la formation Développez Votre Intuition

 

Pour en savoir plus : Coachez votre intuition, le pouvoir du coeur de Vanessa Mielczareck.

WakeUp # 75 : Trouver le calme dans le chaos

 

Existe-t-il un moyen d’échapper à ce trop plein d’informations et d’impératifs que nous avons tous dans nos vies ou faut-il suivre l’exemple de Henry David Thoreau* et se fabriquer une cabane dans les bois pour se retirer de la société et se couper de la technologie moderne ?

Vous pouvez, en effet, faire cela, certaines personnes ont d’ailleurs déjà agit en ce sens en quittant les grandes villes pour vivre dans des endroits plus calmes et naturels. Vivre plus lentement et simplement, c’est une solution.

 

Vous pouvez opter aussi pour une solution moins radicale : une vie où vous pourrez toujours réaliser des choses rapidement, avoir accès à autant d’informations que vous le souhaitez, profiter de la communication instantanée et de toutes les avancées technologiques… mais uniquement quand vous le décidez !

 

Une vie plus simple dans laquelle vous feriez seulement
les choses que vous voulez vraiment faire.

La solution existe : elle réside dans les limites à se fixer pour ne pas consommer ou faire plus que vous ne le souhaitez. Elle consiste à se focaliser davantage sur les choses les plus importantes. Imaginez une vie où vos journées de travail se dérouleraient sans la moindre tension, où votre niveau de stress serait minime, où  vous auriez la possibilité de vous concentrer véritablement sur votre travail, et où vous ne réaliseriez que quelques tâches, mais sélectionnées pour leur plus grand impact.

Vous atteindriez alors des objectifs majeurs sans le stress de devoir tout accomplir dans l’urgence.

Impossible me direz-vous ?

C’est pourtant bien réalisable, en utilisant une méthode très facile à appliquer.
Cette méthode consiste simplement à faire des choix !

A vous maintenant :

Prenez un moment tranquille rien que pour vous afin
de bien définir ce qui est vraiment important pour vous.

Quels choix avez-vous envie de faire pour atteindre ce que vous désirez dans votre vie ?

C’est important, il s’agit de votre vie, et c’est maintenant que vous la vivez.

 

Qui est Henry David Thoreau ? 
C’est un philosophe, poète et essayiste américain du XIXème siècle. Son oeuvre majeure Walden ou la vie dans les bois, publiée en 1854, délivre des réflexions sur une vie simple loin de la société, dans les bois. Il est aussi à l’origine du concept de non-violence et a inspiré de nombreuses figures telles que Martin Luther KIng, Léon Tolstoï, Proust ou plus récemment Paul Auster.

Merci et à bientôt ^_^

 

WakeUp #74 : Apprendre à lâcher le passé

 

Aujourd’hui, je vais vous raconter une petite histoire ou plutôt une métaphore pour :
Comprendre pourquoi nous portons souvent le fardeau de notre passé sur le dos,
Apprendre à le lâcher afin de continuer notre vie plus sereinement.

L’incapacité ou plutôt la non-disposition du mental humain à lâcher le passé est parfaitement illustré dans l’histoire des deux moines zen, Tanzan et Ekido, qui marchaient sur une route de campagne devenue extrêmement boueuse après les pluies torrentielles. Près d’un village, ils croisèrent une jeune femme qui tentait de traverser la route. La boue était si profonde qu’elle aurait abîmé le beau kimono de soie qu’elle portait. Tanzan prit d’un coup la décision de porter cette jeune femme sur ses épaules et la transporta de l’autre côté de la route.

Puis les deux moines reprirent leur route en silence. Cinq heures plus tard, alors qu’ils approchaient du temple où ils allaient loger, Ekido ne put se contenir plus longtemps et demanda à Tanzan : « Pourquoi as-tu porté cette femme ? Nous sommes des moines et nous ne sommes pas censés faire des choses pareilles. »

« Je me suis délesté de la femme en question il y a des heures, mais toi tu la portes encore, il me semble. » lui répondit Tanzan.

Imaginez maintenant ce que serait la vie pour quelqu’un vivant tout le temps comme Ekido, pour quelqu’un qui ne pourrait ou ne voudrait pas intérieurement se délester de situations et qui accumulerait de plus en plus de « trucs » à l’intérieur. Vous avez le tableau de la façon dont la majorité des gens vivent sur cette planète. Quel lourd fardeau du passé ils traînent avec eux dans leur mental !

Le passé vit en vous par le truchement des souvenirs, qui ne sont pas un problème en soi. En fait, grâce à la mémoire et au souvenir, nous tirons des leçons du passé et des erreurs que nous avons commises. Mais quand les souvenirs, c’est-à-dire les pensées au sujet du passé, prennent totalement possession de vous, ils se transforment en fardeau, en problèmes, et deviennent une partie de ce que vous pensez être vous. Votre personnalité, conditionnée par le passé, se transforme en une prison. Vos souvenirs sont imprégnés d’un sentiment de moi et votre histoire devient qui vous vous percevez être. Ce « petit moi » est une illusion qui cache votre véritable identité, la Présence intemporelle et sans forme.

Cependant, votre histoire est non seulement faite de souvenirs mentaux, mais également de souvenirs émotionnels, de vieilles émotions qui sont sans cesse ravivées. Comme c’est le cas du moine qui a porté le fardeau de son ressentiment pendant cinq heures en l’alimentant de ses pensées.

La plupart des gens transportent une quantité énorme de bagages inutiles. Aussi bien de nature mentale qu’émotionnelle. Ils se limitent par les récriminations, les regrets, l’hostilité, la culpabilité. Leur processus émotionnel de pensée est devenu leur moi. Et ainsi, ils s’accrochent aux vieilles émotions parce que celles-ci viennent renforcer leur identité.

Puisque la tendance des êtres humains est de perpétuer les vieilles émotions, presque toutes les personnes portent dans leur champ énergétique une accumulation de vieilles souffrances émotionnelles appelées « corps de souffrance ».

Mais nous pouvons cependant arrêter de rajouter des émotions au corps de souffrance. Nous pouvons apprendre à briser l’habitude qui nous fait accumuler et perpétuer les vieilles émotions en battant des ailes, métaphoriquement parlant, et en nous retenant mentalement de nous attarder sur le passé, peu importe que l’évènement se soit produit hier ou trente ans plus tôt. Nous pouvons apprendre à ne pas maintenir en vie dans notre esprit les situations et les évènements, et à ramener continuellement notre attention à l’éternel et pur présent, plutôt que de nous jouer des films.

Alors, c’est notre Présence même qui devient notre identité au lieu que ce soit les pensées et les émotions.

Rien de ce qui a pu se passer autrefois ne peut vous empêcher d’être présent maintenant. Et si le passé ne peut vous empêcher d’être présent, quel pouvoir a-t-il donc ? Aucun !

Cet article a été inspiré du livre Nouvelle Terre écrit par Eckart Tolle.

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WakeUp #73 : Comment avoir une vie extraordinaire ?

 

Qui n’a pas envie d’avoir une vie extraordinaire ?
Tout le monde n’est-ce pas ?

Mais pour commencer, je vais d’abord vous poser une question :
Avez-vous vraiment envie d’une vie extraordinaire ?

Tout le monde veut être heureux et vivre une vie extraordinaire, mais combien y parviennent ? Combien de personnes ont conscience d’avoir déjà des choses extraordinaires dans leur vie… et combien se posent simplement la question ?

Voici 5 étapes pour commencer à mettre de la magie dans votre vie !
Suivez-moi…

Etape N° 1
Croire que c’est possible !

Pour commencer, si vous désirez avoir une vie épanouissante et que vous avez la croyance que cette quête est impossible à atteindre, vous pourrez en effet difficilement y accéder. Si vous vous dites à longueur de journée que vous n’avez décidément pas de chance, que la vie est dure avec vous et que « c’est comme ça » … la vie sera dure.
« Que vous pensiez être capable d’y arriver ou que vous pensiez ne pas être capable d’y arriver, dans les deux cas, vous avez raison ! » citation d’Henry Ford (concepteur automobile américain).

Croire que votre vie peut être extraordinaire commence déjà à naître dans votre esprit, laissez ce petit germe grandir et se développer tout en prenant garde de ne pas lui marcher dessus, car vous pourriez l’écraser.

Etape N° 2
Prendre un engagement déterminé avec soi-même !

Vouloir une vie extraordinaire, c’est aussi  et surtout s’engager, c’est faire un choix. Lorsque nous prenons un engagement sincère avec nous-même, nous pouvons avoir un changement durable dans notre vie. Être heureux se décide et s’apprend tout simplement. « J’ai décidé d’être heureux, car c’est bon pour la santé ! » disait Voltaire.
Votre bonheur n’attend pas, c’est possible et c’est maintenant si vous le décidez avec une vraie détermination. Vouloir vivre une vie extraordinaire est d’abord une question de choix. C’est une décision que l’on prend vis-à-vis de soi-même.

Etape N° 3
Arrêter de croire que l’argent est le seul moyen d’avoir une vie extraordinaire !

Cette croyance, encore bien répandue, nous limite et coupe notre élan vital pour accéder à d’autres niveaux de conscience et de bien-être. Il est certes nécessaire d’en avoir un minimum pour combler ses besoins de base, c’est-à-dire avoir un logement, de quoi se nourrir et se vêtir (voir la pyramide de Maslow), mais cela ne suffit pas.
De nombreuses personnes avec un solide compte en banque sont pourtant déprimées et ont aussi peur de manquer, … et oui la peur de manquer d’argent existe même chez les millionnaires ! Donc, nous pouvons écarter d’ores et déjà que l’argent est une condition au bonheur ou pour vivre une vie extraordinaire.

Autre croyance encore bien répandue, consommer bien plus que nos besoins. Notre société de consommation effrénée contribue également à nous faire croire que nous avons nécessairement besoin de certaines choses pour être heureux. « D’en mettre plein nos armoires » comme dit la chanson d’Alain Souchon ! Ce qui rend profondément heureux ne s’achètent toujours pas ! Ce qui nous renvoie encore une fois à la notion de valeurs. Quelles sont vos valeurs ?

 

Etape N° 4
Considérez-vous comme une personne extraordinaire, traitez-vous en 1ère classe !

Comment voulez-vous être heureux et bien dans vos baskets si vous vous faites passer systématiquement après les autres, si vous sous dénigrer ou pire si vous vous critiquez à longueur de temps ? Pour vivre une vie extraordinaire, la première chose à faire est de vous voir et de vous traiter comme une personne extraordinaire. Cela ne signifie pas être égoïste ou prétentieux, cela signifie simplement faire passer vos besoins primordiaux, ceux qui vous permettent de vous sentir bien, avant ceux des autres de manière systématique. Comment aider les autres si on est soi-même en difficulté ? C’est impossible et contre-productif.

 

Etape N° 5
Faites de chaque moment de votre vie un moment extraordinaire !

Nous avons tendance à banaliser tous ces moments de notre quotidien où nous faisons et partageons des choses simples. Prendre le petit-déjeuner avec ses enfants, partager un repas avec ses amis, lire un bon livre, contempler un lever de soleil, etc… Posez-vous la question : Et si je ne vivais plus jamais ces instants ?

Quels sont tous les moments dits ordinaires qui, s’ils disparaissaient de votre vie vous rendrait triste ou malheureux ?

Tous les moments que l’on vit et qu’on ne pense pas si extraordinaires que ça sont souvent ceux qu’on aime le plus lorsqu’on y a plus accès. Qu’est ce qui fait la différence entre les deux ? … La Conscience.

Si vous n’avez pas une vie extraordinaire aujourd’hui, c’est que vous en avez fait le choix. Peut-être sans en avoir conscience. A partir de maintenant, les choses peuvent changer, car vous avez toujours le choix, c’est à vous de décider ce que vous avez envie de vivre dans votre vie. A vous de décider quoi mettre dans votre vie : de la joie, de l’amour, du partage, de la simplicité, de l’authenticité, de la bienveillance,…. toutes ces valeurs ou qualités qui sont gratuites et disponibles dès à présent si vous le désirez dans votre coeur.

Je vous souhaite une belle vie…. une vie extraordinaire !!!

With Love Georgia

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WakeUp #72 : L’utilité de l’ancrage

 

Qu’est que l’ancrage ? C’est une technique principalement utilisée pour retrouver plus d’équilibre dans sa vie. Je vous donne la métaphore de l’arbre : si une arbre n’a pas (ou peu) de racines pour s’ancrer dans la terre, il ne peut se tenir droit pour grandir et être solide pour se développer. L’arbre est en lien entre le Ciel et la Terre, il a autant besoin des deux pour se nourrir et pour grandir. L’être humain est lui aussi un trait d’union entre le Ciel et la Terre, il a besoin des deux pour se sentir relié et vivre ainsi le moment présent. Un synonyme de s’ancrer est s’enraciner. S’enraciner dans le sol signifie être ici et maintenant, dans le réel, dans le concret, dans « ce qui est » et non dans les illusions et le flots incessants de ses pensées négatives.

« C’est sortir de sa tête pour s’installer dans ses pieds. »

Pour qui est cette technique ? Elle est utile pour pratiquement tout le monde, mais principalement pour les personnes qui sont trop « dans leur tête » et qui n’arrivent pas à se détacher de leur mental. Plusieurs études scientifiques ont démontré que l’être humain a en moyenne 60 000 pensées par jour et que 98% de ces pensées sont les mêmes que celles du jour précédent. La rumination de toutes nos pensées, de nos peurs, angoisses conscientes et inconscientes, de nos états émotionnels, nos jugements, nos croyances limitantes etc… ne nous permettent pas de ressentir un véritable sentiment de paix intérieure. Il est alors urgent de « quitter » l’étage supérieur du mental-ego pour redescendre et se reconnecter à la Terre afin de s’équilibrer davantage.

Quels en sont les bénéfices ?

  • Plus de sérénité, de stabilité physique (posturale) et émotionnelle,
  • Oser davantage prendre sa place,
  • D’être plus connecté à son intuition,
  • Confiance en soi plus importante,
  • Aisance pour s’exprimer en public (les comédiens et les orateurs l’utilisent).
  • Moins de pensées négatives et de ruminations,
  • Plus de sécurité intérieure,
  • Mieux gérer les difficultés du quotidien,
  • Meilleure communication avec les autres (plus d’assurance),
  • Mieux gérer les conflits,
  • Se sentir plus positif et confiant pour résoudre une problématique….

Comment faire pour s’ancrer ? Voici quelques techniques simples :

  • Toute activité physique qui fait travailler le corps (la marche, la course à pied ou autre),
  • Particulièrement marcher pieds nus dans la nature,
  • Partager avec ses amis, le rire, la joie, l’amour, les échanges positifs,
  • Méditer, se relaxer en silence ou avec un audio et les exercice de Pleine Conscience,
  • Toute activité comme : yoga, danse, Taï Chi, Qi Gong, arts martiaux,
  • Se connecter à la nature, baignade en rivière, en mer, balade en forêt, montagne, jardinage…

Vous l’aurez compris, toute activité où le corps et la nature sont impliqués favorise l’ancrage.

Comment intensifier son ancrage ? Après avoir expérimenter dans un premier temps les techniques mentionnées ci-dessus, si cela ne suffit pas, il vous reste la technique puissante de la visualisation ou ancrage énergétique. La visualisation d’un entraînement se pratique également dans le milieu sportif (surtout de haut niveau), parce que le cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Vous allez donc vous entraîner en restant immobile et les yeux fermés.

Pratique de l’exercice de visualisation,
il est IMPORTANT de garder les pieds bien à plat sur le sol.

  • En position assise ou debout, mettez vos pieds bien à plat sur le sol, en contact avec la Terre.
  • Effectuez 3 grandes respirations lentes et profondes pour vous détendre.
  • Puis, les yeux fermés, vous allez imaginer que des racines partent de vos pieds et s’enfoncent dans le sol.
    Ces racines commencent à vous relier très profondément avec le sol. Si vous êtes assis, ces racines partent de vos pieds mais aussi de votre coccyx (votre bassin),
  • Tout en continuant votre respiration profonde, vous imaginez que ces racines vont de plus en plus profondément dans le sol. Elles sont de plus en plus grosses et nombreuses.
  • A chaque inspiration, vous visualisez l’énergie bienfaisante de la Terre qui remonte en vous.
  • A chaque expiration, vos racines s’étendent encore plus loin et plus profond vers le centre de la Terre.
  • Vos racines englobent maintenant la Terre tout entière et vont jusqu’à son noyau.
    Vous êtes maintenant parfaitement relié avec la Terre.
  • Là, bien enraciné, bien ancré au centre de la Terre, vous allez poser une intention à propos d’une chose que vous souhaiteriez voir apparaitre dans votre vie.

Par exemple, émettez intérieurement l’intention suivante :
« j’ai confiance et je suis en totale sécurité ici et maintenant ».

Vous vous sentez maintenant profondément relié avec la Terre et en totale sécurité.

En pratiquant cet exercice régulièrement, vous allez rapidement en ressentir des bienfaits.

ASTUCE : Vous pouvez utiliser cette technique avant un entretien d’embauche
ou un rendez-vous qui engendre un stress,
vous vous sentirez ainsi
plus confiant pour faire face à votre ou vos interlocuteurs.

Plus vous serez régulier, et plus les résultats seront importants. Cet exercice de visualisation est puissant et donne des résultats concrets.

Expérimentez, pratiquez et sentez si cela est juste pour vous de continuer !

Merci et à bientôt ^_^

 

WakeUp #71 : Faites preuve d’autocompassion !

 

Avez-vous remarqué comme nous pouvons être dur et intransigeant envers nous-même ?
Quelle erreur !

De nombreux médias nous inondent de photos représentant des modèles, des mannequins, qui sont de plus en plus retouchés par des logiciels d’infographie ultra performants pour montrer un idéal impossible à atteindre la plupart du temps. Sous ce bombardement d’images parfaites, comment accepter son corps, en particulier lorsqu’on est en surpoids, handicapé ou simplement âgé ou affaibli par une maladie ?

Le Docteur Kristin Neff, Professeur de Psychologie à l’Université d’Austin au Texas nous parle d’autocompassion, qui est de faire preuve de bienveillance et de douceur envers soi-même, comme on le ferait  pour un ami ou un enfant.

Les personnes capables de compassion et de tendresse envers elles-mêmes
sont plus heureuses et en meilleure santé.

Si vous observez avec attention autour de vous, vous pourrez constater que tous les corps sont imparfaits. Le problème vient principalement de la comparaison constante et souvent inconsciente avec les autres. Lorsque l’on se compare aux autres, on le fait généralement par rapport à ceux qui sont « mieux » que nous. Nous comparons notre apparence physique, un corps plus mince, plus grand, plus beau, plus fort, plus musclé, plus jeune, en meilleure santé….et le big problème dans tout cela est que nous aurons toujours quelqu’un qui sera plus que soi. C’est une histoire sans fin.

L’idée part du principe que nous sommes tous, absolument tous imparfaits. Et il peut y avoir un malentendu entre « normal » et « parfait ». Nous pouvons nous convaincre, consciemment ou non, qu’il est anormal de ne pas correspondre à une image de magasine et cette idée d’anormalité peut nous donner un sentiment de frustration et d’isolement. Le problème est que cela ne fait qu’augmenter notre mal-être car nous sommes « mal dans notre peau ». L’autocompassion est bénéfique par exemple pour notre image de soi et la manière dont on traite son corps. En la pratiquant, nous prenons davantage soin de nous-mêmes. Nous faisons plus de sport ou d’activité physique douce, nous nous alimentons plus sainement. La compassion et la tendresse que nous nous apportons permet aussi de sécréter les « hormones des câlins » comme l’ocytocine qui contribuent à soulager les douleurs chroniques.

Après une étude menée sur deux groupe de personnes, certains chercheurs ont démontré que faire preuve de gentillesse et de tendresse envers soi-même pouvait améliorer le système immunitaire. La bienveillance et la tendresse ne s’adresse pas uniquement à notre corps physique, mais aussi à notre être tout entier.

Il est vraiment bon de se câliner soi-même, de se prendre dans les bras,
de faire une pause tendresse !

Par où commencer lorsqu’on a pas l’habitude de pratiquer les pauses tendresse ?

Un premier pas peut consister déjà à reconnaître ce qui nous dérange, car lutter contre quelque chose que nous n’aimons pas ne fait que le renforcer un peu plus. Or l’autocompassion consiste justement à les atténuer. Afin de prendre soin de soi, il essentiel de choisir les pensées et les mots que nous prononçons à notre égard. Phrases à éviter : Qu’est-ce que je suis gros ! Je suis nul ! il faut que….je dois »…. dites plutôt  « J’aimerais bien perdre du poids car ce serait bon pour ma santé ! » 

Un deuxième pas consiste à éviter de se mentir et de faire l’autruche ! Comme si tout allait bien, alors qu’au fond de vous, vous sentez un malaise. Commencez par regarder la réalité en face et dites-vous : En cet instant, je souffre, je suis en difficulté ». Cela évite de refouler ses sentiments. Pour pratiquer l’autocompassion, il est essentiel de regarder la réalité en face. Le plus important, c’est la façon dont on réagit à cette réalité et ce qu’on en fait.

Reconnaître les sentiments douloureux est donc la première étape indispensable et c’est aussi la plus difficile car nous avons souvent tendance à faire semblant en refoulant ce qui nous dérange.

L’autocompassion c’est se réconforter soi-même. Il est vraiment bon de se câliner soi-même. Tout simplement, serrez-vous, étreignez-vous. Si vous n’arrivez pas à le faire pour quelque raison que ce soit, vous pouvez aussi faire des gestes plus discrets et qui procurent les mêmes sensations. Caressez-vous le bras, joignez vos mains sur votre coeur et consolez-vous aussi verbalement avec une voie douce et grave ? Comme si vous étiez dans les bras d’une mère moelleuse et enveloppante. Si vous n’avez pas d’idée de phrases, pensez à ce que vous diriez à quelqu’un pour le consoler.

C’est fou comme il nous semble difficile d’être doux et gentils envers nous-mêmes !

Il existe néanmoins un risque à l’autocompassion : celui de l’apitoiement sur soi. Si vous vous dites « Ah pauvre de moi, tu n’as vraiment pas de chance, comme c’est dur ! »  Vous risquez de tomber dans ce piège qui ne fera que compliquer la situation. L’autre piège est l’indulgence excessive envers soi, mais on peut la repérer grâce à l’attention et à la prise de conscience : Est-ce que je me laisse trop aller en ce moment ? Est-ce que je me trouve des excuses ?

Il faut donc trouver un juste milieu et s’entraîner pour s’améliorer !
Nous avons tous un coeur, il n’y a plus qu’à le laisser s’exprimer.

La méditation peut énormément aider aussi puisqu’elle modifie le câblage cérébral. La méditation tempère cette tendance à chercher les problèmes, ce qui facilite la bienveillance envers soi-même, mais elle n’est pas indispensable pour cela. Une étude scientifique a été menée à Maastricht, des étudiants ont appris à pratiquer l’autocompassion sans méditer. Ils se sont exercés à se parler gentiment à eux-mêmes et portaient un bracelet qui leur rappelait sans cesse d’être doux et bienveillants envers eux-mêmes. Ils ont fait d’énormes progrès en matière d’autocompassion.

Je vous propose un exercice pratique maintenant : 

  • Choisissez une partie de vous que vous n’aimez pas et qui suscite un sentiment désagréable,
  • Ressentez le stress que cela produit dans votre corps,
  • Dites-vous : Je souffre en ce moment et la souffrance fait partie de la vie,
  • Posez vos mains sur votre coeur puis ressentez la chaleur et leur pression légère sur votre poitrine et prenez conscience de votre respiration,
  • Respirez lentement et calmement.
  • Dites-vous ensuite :  J’essaie de faire preuve de douceur envers moi-même, je m’accepte tel que je suis.
  • Dites-vous pour finir : Je t’aime, je t’aime tel que tu es.

A vous maintenant ! Faites-vous des câlins, faites-vous du bien !

Avec Amour,

Merci et à bientôt ^_^

 

 

 

 

WakeUp #70 : 9 pièges à éviter pour être heureux

Pour être heureux, il faut parfois se défaire de certaines croyances ou certains apprentissages qui nous limitent et qui nous empêchent d’exprimer qui nous sommes vraiment. Ce travail de connaissance de soi et de transformation personnelle nous amènera vers le bonheur. Mais il n’est pas toujours facile et peut nous amener hors de notre zone de confort. Nous rencontrons de nombreuses difficultés dans la vie et il serait faux de croire que le bonheur est parfait. En fait cette illusion nous nuit car nous remettons le bonheur à plus tard, nous considérons qu’il est inutile de rêver, nous nous donnons l’obligation d’être heureux tout le temps et nous nous sentons coupables de ne pas y arriver. Nous ne prenons pas conscience des 2 fonctionnements de la vie qui sont : l’alternance entre les cycles et le présent ouvert.

L’alternance : Il y a des cycles dans la vie (la nature, les saisons, l’ensemble du vivant…) et il en va de même pour les êtres humains et leurs émotions ressenties (après une difficulté dans notre vie, il peut s’ensuivre une sorte de renaissance positive).

Le Présent ouvert : Même si nous vivons certaines difficultés (financières, affectives etc…) nous pouvons être heureux d’être en bonne santé ou d’avoir une famille. Si nous n’aimons pas le travail que nous avons, nous pouvons apprécié d’être en vie car notre vie ne se réduit pas à ces conditions qui sont parfois inconfortables. Les gens qui semblent heureux ont intégré ces 2 principes de façon consciente ou inconsciente. Pour les intégrer, nous serons amené à vivre dans un certain inconfort (momentané) mais cela nous guidera vers une vie plus riche et heureuse.

 

Piège anti-bonheur N°1 :
On n’est pas là pour rigoler !

Combien d’entre nous ont été soumis à des injonctions de parents ou d’éducateurs et d’enseignants, bref de ceux qui ont fait notre éducation et qui voulaient pourtant notre bien. Vous avez entendu des phrases du genre : Il faut travailler dur pour gagner sa vie ! ou encore :  On n’a pas le temps de s’amuser ! On n’est pas là pour rigoler !

Ces petites phrases se sont encodées en nous comme une interdiction au bonheur. Certaines personnes sont heureuses, mais ne le montrent pas par peur du regard des autres car montrer qu’on est heureux signifie qu’on peut être jugé comme égoïste, matérialiste ou encore aveugle voire même d’être rejeté. Il y a aussi une croyance populaire qui dit :  heureux maintenant malheureux demain. Alors que cultiver le bonheur permet d’être plus facilement heureux par la suite.

 

Piège anti-bonheur N°2 :
Il faut être heureux avec ce que l’on a !

Basée sur l’AVOIR et non sur l’ÊTRE, cette logique nous dirige vers une comparaison de ce que nous possédons par rapport aux autres.

On peut se sentir coupable :

– D’avoir beaucoup de choses et de comparer ce que nous avons par rapport à ceux qui n’ont rien, Cependant, le bonheur est avant tout un sentiment intérieur et ne se mesure pas de cette façon.

– D’être toujours dans le positif et de culpabiliser de ne pas être tout le temps heureux quand même, Cependant, le principe d’alternance fait que la vie est une suite de cycles.

– D’avoir, grâce à la société de consommation, accès à tout, à n’importe quel moment, elle nous fait ainsi croire qu’elle peut répondre à tous nos besoins et nous rendre heureux. Comment ne pas être heureux dans de telles conditions ? Cependant, les valeurs essentielles au bonheur ne s’achètent pas.

 

Piège anti-bonheur N°3 :
Il faut être le meilleur !

Même si ce message n’a peut-être pas été formulé aussi directement à vos oreilles, depuis l’enfance, le message sous-entendu est : Sois parfait !
La plupart d’entre nous ne se réjouissent même pas de leur succès (si toutefois ils en ont), car le principe est ici de se comparer sans cesse aux autres et de les dépasser. On ne prend même plus le temps de savourer sa réussite et de la célébrer. On passe à la suivante et ainsi de suite. Bien-sûr que la motivation permet aussi de se surpasser pour atteindre des objectifs et des résultats, mais ce n’est pas la condition pour être heureux. Dans ce cas, vous vous épuisez pour atteindre la perfection. Vous vivez ainsi des frustrations et des déceptions plutôt que de vivre la satisfaction d’une réussite déjà présente. Cet apprentissage commence dès l’école et se poursuit dans la vie professionnelle, la vie de couple, les loisirs : être le meilleur partout ! En faisant cela, nous gagnons la reconnaissance des autres, mais au détriment de notre satisfaction, de notre contentement intérieur… d’être véritablement soi-même. Nous orientons notre vie alors vers le FAIRE plutôt que sur l’ÊTRE.

 

Piège anti-bonheur N°4 :
Il ne faut pas se prendre pour le meilleur !

Ceux qui ont fait notre éducation ont pu nous dire des phrases du genre : Ne te mets pas en avant ! ou Ne te prends pas pour meilleur que tu ne l’es ! Certains peuvent à l’âge adulte ressentir un manque de confiance en soi et avoir de fausses croyances de ne pas oser dire ou faire quelque chose par peur de déplaire ou d’être rejeté. Avoir du succès c’est dérangeant… et il ne faut surtout pas que je dérange. Résultat : un manque d’estime de soi. Il semblerait que 80% des consultations en psychothérapie soit à la base d’un manque d’estime de soi et de confiance en soi. Les personnes qui manquent de confiance et d’estime d’elles-mêmes se verront vulnérables, en proie au regard des autres et accepteront avec difficulté les critiques ou les contradictions.

En combinant ces deux injonctions :
Il faut être le meilleur
et … il ne faut pas se prendre pour le meilleur,
c’est un véritable déchirement qui casse l’élan de vie.

Ceci nous amène à vouloir mais sans oser... et à espérer mais sans entreprendre !

Et voilà que cette double injonction s’imprègne en nous et nous prend dans un piège invisible puisque les intentions de ces messages sont supposées à la base être bonnes pour nous. Il nous faudra donc décoder ces messages en quittant la pensée binaire, et la Communication Non Violente (CNV) est une méthode qui peut nous aider à comprendre.

Petit résumé de la CNV, tiré di livre de Thomas d’Assembourg :
Cessez d’être gentil, soyez vrai !

OBSERVATION : Observer la réalité telle qu’elle est, sans jugement et sans rentrer dans ses émotions.
SENTIMENT : Ressentir sans interpréter, éviter la confusion entre nos sentiments et nos besoins.
BESOIN : Faire la différence entre nos besoins de base et nos désirs, envies ou demandes.
DEMANDE / ACTION : Exprimer une demande positive et précise face à l’autre qui ne peut pas deviner nos besoins ou bien entreprendre une action afin de rendre notre besoin plus concret.

 

Piège anti-bonheur N°5 :
Nous avons plus appris à faire qu’à être !

Une croyance bien ancrée est : Nous sommes aimés pour ce que nous faisons et non pour ce que nous sommes. Cette croyance entraîne la culpabilité, l’épuisement, l’angoisse et la dépression autant dans le couple, en famille ou au travail. Ne rien faire n’est pas bien vu dans nos cultures occidentales, il y a une obligation de produire par la société, tel le hamster qui tourne dans sa cage sur lui-même et qui finit par tomber car il ne peut plus suivre la cadence. Vous avez sans doute connu dans votre entourage, une ou plusieurs personnes qui se vouaient à leur travail plus de 10 heures par jour et qui ramenaient en plus leurs dossiers chez eux pour le week-end… à votre avis sont-elles heureuses ou en limite burn out ? Malgré une réussite professionnelle, nous pouvons être profondément malheureux.

L’être humain est comme le hamster dans sa roue, il est plus facile d’être malmené par le tourbillon des choses à faire que d’accepter l’inconfort d’une remise en question. Il est aussi inconfortable de s’arrêter à cause du regard des autres sur nous et même de notre propre regard sur soi. Nos habitudes du quotidien ont la vie dure !

Nous avons également en nous des auto-sabotages qui nous empêchent de penser que c’est possible d’être heureux, car c’est trop beau pour être vrai ! Cela nous entraîne à être vigilant sur le choix de nos pensées qui sont souvent négatives et nous embarquent rapidement vers ce que nous ne voulons justement pas et brisent notre bonheur.

Est-ce que je continue à faire de plus en plus de choses dans ma vie…
ou est-ce que je mets de plus en plus de vie dans les choses à faire ?

 

Piège anti-bonheur N°6 :
Nous n’avons pas mis notre sécurité et notre confiance en nous
mais dans le regard des autres

Puisque nous avons la croyance que nous sommes aimés pour ce que nous faisons et non pour qui nous sommes, nous faisons de nombreuses choses pour faire plaisir aux autres et nous nous oublions par peur d’être jugé, rejeté !

La réalité est que nous ne pouvons pas plaire à tout le monde ! Restons donc fidèle à nous-même sans se préoccuper de ce que les autres peuvent penser. En cheminant sur la connaissance de soi, il vient un temps où nous prenons conscience que nous avons réprimé nos besoins pour faire plaisir et pouvons à l’extrême tellement valoriser nos besoins qu’on en oublie ceux des autres. Pour sortir du piège, il faut d’abord le constater, identifier et mettre au clair nos besoins fondamentaux, les respecter et célébrer chaque petite réussite. Nous gagnerons en confiance au lieu de vouloir tout contrôler par manque de sécurité.

 

Piège anti-bonheur N°7 :
Nous avons appris que la différence est menaçante

Tôt nous nous sommes écrasé pour être gentil plutôt que d’avoir une divergence d’opinion.
Différence = Menace. Soumis par la peur d’être dérangé, seul ou puni. Par peur de ne pas être aimé, nous nous interdisons à être différent ou penser différemment ce qui nous entraîne aussi à refuser la différence chez les autres.

 

Piège anti-bonheur N°8 :
Nous n’avons pas appris à entendre et à dire NON !

Puisque nous avons la croyance que nous sommes aimés pour ce que nous faisons et non pour qui nous sommes, nous avons appris à dire OUI à toutes les demandes de notre entourage, non pas par bienveillance mais pour faire plaisir (et sans vérifier avant si cela nous convenait). Cela peut nous amener à de l’épuisement, ou à des frustrations accumulées qui nous feront dire NON de manière démesurée. Il est essentiel de savoir dire NON de façon affirmative et non agressive, en identifiant et en comprenant le besoin de l’autre dans sa demande, en acceptant qu’il soit seul responsable de le satisfaire et cela ne doit pas dépendre de nous. Ensuite, il faut s’écouter soi-même et vérifiant ses propres besoins et priorités. Nous voyons ensuite si nous acceptons ou non de répondre à la demande de l’autre.

Si nous faisons le tri dans nos émotions et nos blocages, nous contribuerons à ce qu’il y ait plus de paix et de simplicité tout autour de nous. C’est à chacun d’initier ses propres changements et de conduire sa propre vie afin de contribuer à une meilleure harmonie et un monde meilleur.

Lorsque l’autre nous dit NON, cela peut être inconfortable mais peut nous amener à argumenter et à renchérir ou au contraire ne plus oser demander quoi que ce soit. L’un comme l’autre cela nous rend malheureux. Nous devons donc apprendre à écouter le besoin de l’autre qui se manifeste lorsque celui-ci dit NON. La relation à l’autre est vivante : elle peut naître, vivre, s’épanouir, se transformer et même mourir. Il faut donc l’entretenir afin que cette dernière puisse vivre. Pour cela, il est important de mettre plus de conscience et de présence dans ce que nous faisons avec les autres. La question à se poser : est-ce que ce je fais m’apporte un profond contentement intérieur ?

Ceux à qui on dit NON peuvent se sentir attaqués, voire rejetés. Ils croient que les personnes dites « gentilles » acceptent de faire tout ce qu’ils veulent, comme ils le veulent, sinon ils considèrent l’autre comme « méchant ». Il faut donc accepter cette réaction de l’autre et ne pas rentrer dans le jeu de l’agression ou du rejet et cela n’est pas toujours confortable.

 

Piège anti-bonheur N°9 :
Nous n’avons pas appris à bien vivre nos sentiments

Nous avons appris à courir partout sans nécessairement avoir appris à Être tout simplement. Être avec nos sentiments pour les écouter et les utiliser de manière bénéfique. On se trouve ainsi coupé de nos émotions.Il est donc important d’apprendre à les connaitre pour pouvoir les utiliser consciemment. Le processus au début n’est pas confortable mais nous amènera à un sentiment de paix intérieure par la suite. Savoir écouter sa colère pour pouvoir mieux la transformer. Peu de gens sont à l’aise avec la colère car elle peut nuire dans les relations. Une colère peut être bénéfique et bienveillante quand elle est bien formulée, cela demande un travail sur soi pour bien comprendre ce qui se passe. Nous devons accepter la responsabilité de ce que nous vivons plutôt que d’accuser l’autre dans notre élan de colère. Souvent notre colère naît du fait que nous ne nous sentons pas compris par l’autre. Nous croyons avoir été clair et ce n’est pas le cas. Parfois, nous pensons que l’autre doit même deviner notre demande sans que nous l’ayons formulée, car nous pensons que c’est évident ! La colère nous montre que nous continuons à fonctionner dans un schéma obsolète ou peu pertinent. Nous devons donc changer notre façon d’être. Lorsque nous écoutons notre colère, nous pouvons souvent constater qu’elle nous montre un besoin non assouvi. Quelque chose ne nous convient plus, nous ressentons un besoin de changement. Profitons donc de ce que nous enseigne notre colère à condition de ne pas la refouler, ni de la vivre de façon trop explosive !

Exprimer sa colère à temps et dans le respect de l’autre est salutaire !
Attention la colère n’est pas synonyme de violence. 

 

Apprendre à s’exprimer de manière affirmative et non agressive
permet de ne pas exploser de colère plus tard.

 

Les 3 pistes pour sortir de ces pièges au bonheur :

1 – Sortir de l’engourdissement et passer du sommeil au réveil. Le profond bien-être est accessible puisqu’il est déjà en nous. C’est plutôt notre éducation qui nous a coupé de nous-même. Nous avons d’abord à décider de bouger.

2 – Partager et échanger avec les autres. Lorsqu’on se sent mal, on a tendance à s’enfermer et se replier sur soi. Nous ne sommes jamais seul. Apprendre à faire le deuil de certains fonctionnements obsolètes en nous. Savoir lâcher et apprendre à pleurer lorsque nous en sentons le besoin.

3 – Faire preuve d’auto-discipline dans sa vie. Nous avons tendance à faire des choses et déployer beaucoup d’énergie pour l’extérieur alors qu’il est important de focaliser son attention et utiliser son énergie pour l’intérieur, notre être profond.

Ce cheminement intérieur peut se faire seul
ou accompagné par un professionnel de la relation d’aide.

A vous maintenant !
Qu’avez-vous besoin de changer dans votre vie aujourd’hui pour vous sentir heureux,
confiant et avec une belle estime de vous ?

Je vous invite à prendre des notes de ce qui vous vient à l’esprit et à lire le livre cité ci-dessous :

Cet article a été inspiré du livre de Thomas d’Ansembourg :
Être heureux, ce n’est pas nécessairement confortable.

Cliquez sur l’image si vous souhaitez commander le livre.

WakeUp #69 : Comment aimez-vous votre partenaire ?

De temps en temps, je vous propose un article « invité », celui-ci est de Lise Bourbeau sur le couple.

Avant de lire cet article, je vous conseille de noter toutes les façons dont vous exprimez votre amour envers votre partenaire de vie.

Commençons par définir ce qu’est l’amour véritable :

  • Accepter l’autre tel qu’il est surtout quand vous n’êtes pas d’accord ou que vous ne le comprenez pas.
    On sait qu’on accepte quand on n’a aucun jugement de bien ou de mal, qu’on n’accuse pas et qu’on n’essaie pas de changer l’autre.
  • Savoir qu’il vous aime même quand il ne veut pas vous faire plaisir.
    Faire plaisir ne signifie pas aimer.
  • Accepter qu’il réponde à ses besoins avant les vôtres.
  • Être bien même si le/la partenaire ne suit pas nos conseils ou s’il/elle ne pense pas comme vous.
  • Vérifier son besoin au lieu de décider pour lui/elle.
  • Savoir que vous n’avez pas le pouvoir de vous rendre heureux l’un et l’autre en vous rappelant que le bonheur ne peut venir que de l’intérieur de soi.

Il est fort possible qu’à première vue vous soyez d’accord avec cette définition et que ce soit votre plus grand désir d’aimer de cette façon, mais vous pensez… LUI OU ELLE N’EST PAS PRÊT/E À LE VIVRE DANS NOTRE RELATION.

Ceci indique que vous voulez changer votre partenaire et que vous ne prenez pas votre responsabilité. En réalité, vous dites Je suis prêt à mettre en pratique l’amour véritable, à condition que l’autre soit prêt à le faire aussi. Je vous rappelle que vous ne pouvez jamais récolter ce que vous n’avez pas semé. Vous voulez vivre un amour inconditionnel avec votre partenaire ? SEMEZ DE L’AMOUR INCONDITIONNEL. Vous pouvez d’ailleurs toujours vérifier par votre récolte ce que vous avez semé.

Reconnaissez-vous que vous vous faites souvent des illusions sur vous-même ? Sachez que c’est alors votre ego qui a pris le dessus. Vous avez le pouvoir de ne pas vous laisser diriger, contrôler par celui-ci. Pour y arriver vous devez d’abord être conscient à quel point il a de l’emprise sur vous. Vous pouvez savoir que c’est lui qui mène aussitôt que vous vivez un malaise, une émotion, une peur, etc.
Toutes les petites voix qui viennent déranger votre quotidien sont des expressions de votre ego.

Avez-vous déjà discuté avec votre partenaire de vos désirs et besoins respectifs ? Si oui, vous avez certainement pu constater qu’ils diffèrent beaucoup. Par exemple, l’un peut vouloir aller au cinéma une fois par semaine et l’autre uniquement une fois par mois. Et que faire si l’un d’entre vous tombe amoureux d’une autre personne ? Avez-vous décidé ensemble si vous préférez vous le dire ou vous mentir. Je connais des couples où l’un dit Si ça arrivait, j’aime mieux le savoir qu’avoir des soupçons et m’inquiéter en silence. Et l’autre dit En ce qui me concerne, j’aime mieux ne pas le savoir pourvu que tu continues à être heureux avec moi.

Vous aimez-vous suffisamment pour parvenir à vous entendre à ces sujets ? Les ententes permettent à chacun de répondre à ses besoins aussi souvent que possible et de respecter ses limites.

Quelle serait votre réaction si votre partenaire voulait partir en vacances sans vous par besoin de se retrouver seul pour faire le point sur certaines choses ? Il est fort possible que vous pensiez qu’il ne vous aime plus. Encore des pensées de l’ego ! Si vous-même aviez ce besoin, seriez-vous capable de l’exprimer à votre partenaire ? Je connais plusieurs personnes ayant eu ce désir après plusieurs années de vie de couple, mais qui n’ont jamais osé en parler. Ils n’écoutaient donc pas leur coeur.

Au fur et à mesure que vous appliquerez les notions de l’amour véritable, vous verrez que cela ne vous dérangera plus de laisser votre partenaire répondre à ses besoins. C’est ainsi que vous récolterez qu’il sera heureux que vous le fassiez aussi. Aimer véritablement c’est vouloir que l’autre soit heureux. ATTENTION, je ne dis pas que VOUS avez le pouvoir de le rendre heureux ni que c’est votre devoir de le faire. Ce sont là encore des pensées qui appartiennent à l’ego ! Ceux qui croient avoir ce pouvoir osent rarement dire non ou avouer que leurs besoins diffèrent de ceux de l’autre. Souvenez-vous que très souvent, DIRE NON À L’AUTRE C’EST SE DIRE OUI À SOI. Rappelez-vous de plus que le bonheur ne peut venir que de l’intérieur de soi et que c’est votre réaction ou votre perception qui détermine si vous êtes heureux ou malheureux.

Une relation harmonieuse devrait toujours vous aider à avoir une meilleure qualité de vie que si vous viviez seul. Sinon, à quoi bon être en couple ? Moins vous écoutez vos besoins, plus vous vous attendez à ce que l’autre le fasse et prouve ainsi son amour. Ce genre d’attitude a pour conséquence de vivre dans la peur, la frustration, la colère et la culpabilité. Voilà pourquoi les relations amoureuses sont souvent difficiles et durent de moins en moins longtemps. Les statistiques de 2014 montrent que la durée moyenne d’un couple se situerait entre neuf mois et deux ans. Ceci inclut tous types de relations : 24 % de couples mariés, 41 % de couples en concubinage et 35 % de couples qui vivent séparément n’ont pas pu dépasser ce laps de temps.

J’ai quand même constater que de plus en plus de couples solidifient leurs relations depuis qu’ils mettent en pratique les notions de responsabilité et d’amour véritable.

Et vous ? Que voulez-vous ? Il ne vous reste qu’à le décider et à passer à l’action !

Avec amour,

Cet article a été rédigé par Lise Bourbeau,
Fondatrice de l’école de développement personnel québécoise Ecoute Ton Corps.

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WakeUp #68 : Petites actions… impact énorme !

La plupart d’entre nous restons bloqués dans notre vie pour certaines raisons :

  1. Nous avons une tâche à faire ou un projet à réaliser intimidant, nous sentant submergés, nous le remettons à plus tard,
  2. Nous voulons adopter de nouvelles habitudes, mais l’inconfort que nous ressentons nous fait souvent abandonner au bout d’un certain temps,
  3. Nous trouvons la vie épuisante, parce qu’il y a de nombreuses choses à faire et nous nous oublions.

Le problème avec ces situations courantes, c’est que nous considérons les choses dans leur ensemble, nous ne voyons que la nature débordante de tout cela, et du coup, nous nous en servons comme d’une excuse pour, au final, ne rien faire. Au lieu de se conformer à cela, je trouve utile de choisir de faire des petites actions. Des actions qui peuvent paraître insignifiantes à nos yeux et qui pourtant peuvent tout changer dans notre vie.

Voici quelques exemples :

  • J’ai beaucoup trop de choses à faire en ce moment, je suis débordé.e, alors je fais quelque chose de très simple. J’entreprends juste une tâche. Je fais avancer un projet de la plus simple des manières :
    je fais juste une liste. Une chose qui prend à peine une minute ou deux, je peux le faire !
  • Je commence à écrire une liste de TOUT ce que j’ai à faire, je mets en avant mes priorités sur le papier,
  • Je ne suis pas arrivé.e à adopter une habitude que j’essayais de prendre, comme la méditation ou l’exercice physique… et cela fait que je n’ai même plus envie d’y penser. J’adopte donc la plus petite version de l’habitude — puis-je faire une petite pause et méditer maintenant ? Et si je faisais quelques pompes ou une petite marche à pied ? C’est ce qui marque le coup d’envoi, et maintenant l’habitude ne semble plus aussi difficile à adopter. Je fais le choix d’entreprendre de petites actions le plus régulièrement possible.
  • J’ai passé mon temps à reporter un projet et je n’ai pas l’esprit tranquille à ce sujet, je décide alors de réaliser une petite partie de mon projet, et maintenant je me sens beaucoup mieux. Tout d’un coup, je peux faire avancer le projet avec de petites actions, de petites victoires.
  • Je sentirai de la satisfaction d’avoir accompli un pas de plus, juste un autre petit pas,
  • Je me sentirai mieux, je me sentirai fier de moi car j’aurai le sentiment d’avoir avancé.

Chacun de ces exemples est si simple, si petit, et pourtant leur impact est plus grand que la plupart des gens ne le réalisent. L’action est petite, mais l’impact qui en découle est énorme. La victoire peut sembler insignifiante, mais il s’agit en fait d’un changement profond.

A vous maintenant !

Quelles sont les petites actions en direction de vos projets ?
Quelle est la toute première que vous pourriez mettre en place
lorsque vous aurez fini de lire cet article… c’est-à-dire MAINTENANT ?

Un voyage de mille lieux commence toujours par un premier pas
Lao Tseu (Tao Te King)

Merci et à bientôt ^_^

WakeUp #67 : Vous sentez-vous dépassé ?

Au cours de notre vie, de nombreux évènements se produisent qui sont souvent indépendants de notre volonté. L’entreprise pour laquelle nous travaillons décide de réduire son personnel et nous sommes licencié, notre conjoint nous quitte, un membre de notre famille  tombe gravement malade, un de nos proches meurt subitement ou le gouvernement supprime une allocation sur laquelle nous comptions et ainsi de suite. Dans de telles situations, nous nous sentons souvent impuissants à agir pour améliorer les choses.

Il vous est certainement déjà arrivé d’avoir tout essayé pour trouver un nouvel emploi, pour aider votre famille, pour rencontrer l’âme soeur ou tout simplement pour être heureux. Mais rien ne semblait marcher. Et souvent, lorsque nous tentons de mettre en pratique une nouvelle approche, que nous cherchons à fournir le meilleur de nous-même, sans toutefois parvenir au but, nous avons peur de faire de nouvelles tentatives. Pourquoi ? Parce que nous fuyons la souffrance et que personne n’aime jouer le rôle du perdant. Personne n’aime faire de son mieux et voir à nouveau ses espoirs déçus. Et bien entendu, il n’est pas rare qu’après plusieurs déceptions, nous perdions tout désir d’essayer à nouveau ! Nous finissons par croire que rien, absolument rien, ne marchera.

Si vous vous trouvez dans une telle impasse, c’est que vous souffrez de « résignation acquise ». Vous avez littéralement appris à vous persuader que vous faites partie de ceux « qui n’y peuvent jamais rien », vous perdez toute confiance en vous et pour finir, vous baissez les bras.

La bonne nouvelle, en l’occurence, c’est que vous vous trompez. Vous avez le pouvoir d’agir ! Vous pouvez tout changer dans votre vie, dès aujourd’hui, en modifiant vos perceptions, votre vision des choses et votre façon d’agir.

« Je ne suis pas découragé,
car tout nouvel échec constitue un pas de plus vers la victoire. »

Thomas Edison

Le premier pas à faire pour changer le cours de votre vie, c’est de vous débarrasser de l’idée négative qu’il est inutile d’agir ou que vous en êtes incapable. Ok et comment faire?

Affirmer son impuissance à agir, c’est exprimer en fait que des méthodes se sont avérées inefficaces par le passé. Mais, permettez-moi de vous rappeler : votre passé n’a rien à voir avec votre avenir. C’est ce que vous faites à l’heure actuelle MAINTENANT qui compte et non pas ce que vous avez fait hier. En effet, bien des gens essaient de bâtir leur avenir en ne regardant que dans leur rétroviseur. Si vous êtes de ceux-là, ce sera à coup sûr une catastrophe. Apprenez plutôt à vous concentrer sur ce que vous pourriez faire aujourd’hui-même pour améliorer les choses, même si ce que vous faites n’est, à vos yeux, qu’un tout petit pas… il est essentiel de le faire.

C’est en persévérant qu’on arrive à son but !

♥ ACTION NOUVELLE DU JOUR ♥

A vous maintenant : Que pourriez-vous faire aujourd’hui-même en direction de ce qui compte pour vous : appeler une personne, prendre un rendez-vous, trier vos papiers, faire une ballade etc… 

L’objectif dans ce cas précis est précisément de retrouver votre confiance en vous-même et votre estime personnelle pour rebondir et aller de l’avant en direction de ce qui compte pour vous. Si vous n’y parvenez pas tout seul, j’ai une 2ème bonne nouvelle : vous pouvez à tout moment vous faire aider par un professionnel soit en coaching, soit en thérapie brève par exemple pour débloquer votre situation et poursuivre votre chemin en toute sérénité.

Petite devinette : Lorsque votre voiture tombe en panne…
chez qui l’amenez-vous pour la réparer ?

Il y a certaines rencontres que je qualifie d’exceptionnelles dans une vie. Cet article m’a été inspiré par une de celles-ci faite en 2014 avec Anthony Robbins, coach et entrepreneur américain avec 30 ans d’expérience derrière lui.

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Merci et à bientôt ^_^

georgiavergier.fr