WakeUp #85 : Comment choisir son métier idéal ?

Connaissez-vous l’étymologie du mot « travail » ?

  • Sous l’Antiquité, le terme bas latin trepalium est une déformation de tripalium, un instrument formé de trois pieux, auxquels on attachait les esclaves pour les punir.
  • Au XIIe siècle, le mot « travail » est issu du latin populaire « tripaliare », qui signifiait tourmenter, torturer avec le trepalium (instrument de torture du Moyen-Âge).
  • Aujourd’hui, ce mot désigne aussi un tourment (psychologique) ou une souffrance physique (le travail d’accouchement).

A présent, vous comprenez mieux pourquoi la grande majorité des gens souffrent en se rendant à leur travail. Sans en faire une généralité, il est pourtant bien réel de constater que de nombreuses personnes ne sont pas satisfaites et encore moins épanouies dans leur emploi.

-Avez-vous déjà ressenti du stress ou un mal-être à votre travail ?
-Ressentez-vous la boule au ventre pour vous y rendre ?
-Vous est-il déjà arrivé de ne pas vous sentir à votre place dans une équipe ?
-Vous est-il déjà arrivé de vous sentir incompétent ?
-Quel impact cela a-t-il eu sur vous (pensées, sentiments et sensations) ?
-Quel impact cela a-t-il sur votre vie personnelle aujourd’hui ?
-Quel en est le prix à payer de votre santé physique et psychique ?

Dès qu’il y a un sentiment de malaise et de mal-être concernant votre activité professionnelle, c’est que vous n’êtes plus aligné.e sur votre chemin de vie ou mission de vie. Bien s’orienter professionnellement peut non seulement vous permettre de gagner en sérénité, en confiance et en bien-être mais aussi de vous réaliser sur le plan personnel.
Alors… comment faire ?

1. Tout commence par une introspection personnelle

Pour gagner en bien-être, je vous propose de vous reconnecter à la notion de plaisir au travail. Je vous invite à écrire sur une feuille quelles sont les tâches et les actions qui vous mettent en joie et qui vous font vibrer.

Faire ce que l’on aime, et aimer ce que l’on fait.

Souvent, c’est dans ce que l’on aime faire que l’on donne le meilleur de soi. Cela implique de faire abstraction de ce que la société érige en critère de réussite (comme certains clichés tels la belle maison, le couple parfait, les beaux enfants, un animal de compagnie, un job bien payé et bien-sûr la belle voiture qui va bien pour finaliser le tout. Bien-sûr que ce tableau peut vous apporter un certain niveau de confort, du plaisir et un sentiment de sécurité, surtout si vous en avez manqué et c’est ok avec ça.
N’y voyez aucune critique, juste une caricature assez classique de notre société dans laquelle beaucoup de personnes croient pour avoir un soit disant accès au bonheur. Mais le bonheur ne se trouve pas à l’extérieur de soi sous une forme matérielle, c’est un sentiment de paix et de satisfaction profonde que personne ne peut vous retirer, il se construit au fil du temps.

Nous n’avons qu’une vie ici et maintenant, alors, autant prendre du plaisir à la vivre ! 
Qu’en pensez-vous ?

Que voulez-vous exactement ?

Identifiez avec le plus de précision possible :

  • les tâches que vous aimez faire, choisissez les verbes d’action qui vous correspondent vraiment (accueillir, voyager, écrire….)
  • l’environnement dans lequel vous aurez envie de travailler, en extérieur ou à l’intérieur, chez vous ou en dehors, etc…
  • la façon de travailler : seul ou en équipe, salarié ou indépendant, avec des enfants, des adultes ou des animaux…etc
  • les valeurs qui sont importantes pour vous : coopération, confiance, partage, bienveillance, convivialité, honnêteté, joie, respect, etc…

Le mal-être au travail survient aussi quand nous ressentons que nos valeurs profondes personnelles ne sont pas respectées.
Le fait de mettre en adéquation vos propres valeurs avec celles de votre activité professionnelle, de votre entreprise ou de votre employeur, vous permettra de ressentir plus d’harmonie et de bien-être.

Quel sens donnez-vous à votre travail ?

Pourquoi travaillez-vous ? À quoi sert votre travail ? En quoi votre travail a un impact sur la vie d’autres personnes ? Quel impact a-t-il sur vous aussi ? Lorsque l’on me demande aujourd’hui ce que je fais dans la vie, je réponds que j’accompagne les personnes à trouver leur voie, leur chemin de vie (ou talents majeurs ou mission de vie), à ressentir davantage de bien-être et de sérénité dans leur activité professionnelle et à obtenir ou à créer leur job idéal.

Comment ? En les aidant à identifier leurs talents et à les communiquer aux autres. Puis à augmenter leur confiance en eux pour passer du « travail/souffrance » au « travail/plaisir ». Je me sens fière et remplie d’énergie en faisant cela. Et vous, qui est impacté par votre travail ?

Exemple pour trouver vos verbes d’action : J’ai accompagné une jeune femme dont les verbes d’action étaient : partager, voyager, faire découvrir, parler en anglais etc… Je ne sais pas à quoi cela vous fait penser, mais, le métier de “guide touristique” m’est venu rapidement à l’esprit.

Exemple pour trouver votre environnement et votre façon de travailler la plus adéquat : j’ai accompagné une étudiante qui était en Faculté de Droit et il se trouve qu’elle ne s’y plaisait pas du tout, elle déprimait. Son environnement idéal étant l’extérieur avec des animaux donc rien à voir avec un amphithéâtre bondé de 400 personnes. Aujourd’hui, elle suit sa passion en se formant à un métier qualifiant qui se trouve être avec les chevaux et en extérieur toute la journée.

Posez-vous les questions suivantes :

  • Est-ce que vous préférez travailler seul, en binôme ou en équipe ?
  • Est-ce que vous préférez avoir un travail créatif ou exécutif ?
  • Est-ce que vous avez envie d’encadrer une équipe ?
  • Est-ce que vous préférez être un expert dans un domaine précis ?

Cela vous permettra de trouver VOTRE place, c’est-à-dire une place qui soit bonne et juste pour vous. C’est de cette manière que vous serez plus zen car votre environnement de travail vous correspondra vraiment.

Exemple pour trouver vos valeurs : une valeur, c’est ce qui est très important pour vous. Un de mes clients qui est graphiste dans un service de publicité et communication était chargé de réaliser des maquettes pour sa hiérarchie qui lui dictait exactement ce qu’elle voulait sans lui laisser la moindre initiative de création. Comme dans ses valeurs, il y avait la liberté et la créativité, il ne pouvait pas se sentir bien, car il ne se sentait ni libre ni créatif.

Posez-vous la question :
Quelles sont les valeurs les plus importantes pour moi
sur la plan professionnel ?

Pour clôturer cet article, je vous invite à réfléchir au sens que vous donnez à votre activité professionnelle.

Faites-vous partie des personnes qui attendent
18h… le week-end… les vacances et pour finir la retraite ?

La plupart des personnes disent ne pas se sentir utiles voire même qu’elles s’ennuient à leur travail, elles attendent en regardant leur montre. Triste non ? Ce qui ressort particulièrement, lorsque l’on pose la question du sens est :

Le manque de sentiment d’utilité,
Le manque de sentiment de reconnaissance,
Le manque de sentiment d’appartenance.

Nous avons besoin de savoir en quoi nous sommes utiles au monde pour nous sentir heureux. C’est notre façon de contribuer et de nous relier.

La finalité de tout cela est que la vie prend tout son sens lorsque nous savons avec précision ce à quoi nous sommes utiles et quel sens nous donnons à notre vie. Et comme tout est perpétuel changement dans la vie, nous pouvons, à tout moment, continuer à peaufiner notre cheminement.

Seuls, les sentiments d’être utile et de servir les autres rendent l’être humain plus joyeux, enthousiaste et serein. Ne serait-ce pas cela finalement le bonheur ?

Avec le coeur,

Georgia Vergier

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WakeUp #84 : Amour de soi ou égoïsme ?

Faites-vous partie de ceux qui ont peur de passer pour une personne égoïste si vous vous permettez de faire, d’avoir ou d’être ce que vous voulez ?

Si oui, voyons ensemble si votre peur de l’égoïsme est bien fondée.

S’aimer se reflète à travers différents comportements : répondre à nos propres besoins pour être bien, nous donner le droit d’être humain avec nos imperfections et nous permettre d’être différent sans chercher à nous changer pour faire plaisir à l’autre. Cela se traduit également par le fait de savoir que nous avons encore des blessures (d’enfance) non guéries qui nous font parfois agir de façon contraire à ce que notre coeur désire pour ensuite être capable d’aller de l’avant sans nous sentir coupable. Être égoïste signifie vouloir prendre quelque chose qui ne nous appartient pas de quelqu’un d’autre pour satisfaire nos propres désirs ou caprices.

Commençons avec des exemples dans le « AVOIR » pour vérifier si c’est de l’amour de soi ou de l’égoïsme :

  • Vous gagnez un montant d’argent et vous ne voulez pas en donner à vos proches qui s’attendent à en recevoir. Ce comportement reflète de l’amour pour soi, car vous n’enlevez rien qui appartient aux autres, vous choisissez plutôt d’écouter ce que vous voulez. C’est celui qui s’attend à en recevoir qui représente la personne égoïste.
  • Dans vos temps libres, vous avez une journée de congé et vous n’avez pas le goût d’aller visiter votre vieille maman qui s’ennuie. Ce n’est pas de l’égoïsme, mais plutôt de l’amour de soi, car votre temps n’appartient pas à votre maman. Si elle se trouve malheureuse parce que vous n’y allez pas, c’est elle qui devient égoïste.

Passons maintenant à d’autres exemples reliés au « FAIRE » :

  • Vous avez un talent ou une profession de coiffeur, par exemple, et la famille s’attend à ce que vous leur offriez le service gratuitement et sur demande. Dire non n’est pas égoïste, ça signifie plutôt que vous respectez vos limites.
  • Vous voulez aller en vacances avec votre conjoint pendant une semaine ou deux sans les enfants (quel que soit leur âge). Même si les enfants pleurent pour y aller, votre choix de les laisser avec une autre personne ne révèle pas de l’égoïsme. Encore une fois, votre temps (ou présence) ne leur appartient pas. Vous ne faites qu’écouter un besoin important pour l’harmonie de votre couple.

Voici deux autres exemples au niveau du « ÊTRE » :

  • Vous êtes malheureuse parce que vous vous sentez abandonnée par le conjoint qui travaille beaucoup. C’est égoïste de votre part de lui exiger de moins travailler afin qu’il passe plus de temps avec vous. Vous pouvez faire votre demande et lui exprimer votre préférence, mais votre conjoint n’est pas égoïste s’il sent le besoin de travailler et ne répond pas à votre demande. Il comble son besoin, donc il est dans l’amour de soi et si vous dépendez de lui pour être heureuse, vous êtes dans la peur de ne pas être aimée plutôt que dans l’amour de vous-mêle. Vous aimer dans cette circonstance, c’est accepter que si le conjoint ne peut pas être là, vous décidez de vous trouver des divertissements ou occupations qui vous rendront heureuse.
  • Vous êtes fatigué et votre soeur vous invite à une soirée familiale. Vous ne voulez vraiment pas y aller, car vous savez que vous avez plus besoin de repos que d’une sortie. Vous n’osez pas dire NON, car vous avez peur de passer pour une égoïste, puisque vous seriez la seule personne de la famille manquante. Encore une fois, ne pas y aller n’est nullement égoïste, car vous n’enlevez rien à votre famille: tout ce que vous faites est que vous ne répondez pas à leurs attentes.

Comme vous pouvez le constater, l’amour de soi, c’est être à l’écoute de ses propres besoins. Souvenez-vous que lorsque vous dites ou faites quoi que ce soit par peur d’être égoïste, vous n’agissez pas par amour pour vous-même.

En agissant par peur de quelqu’un ou de quelque chose, vous vivez automatiquement de la colère face à vous-même et, trop souvent, cette colère s’exprime envers quelqu’un d’autre, ce qui a pour effet de vous faire vivre plusieurs autres émotions.

Même si vous trouvez difficile d’agir par amour pour vous au risque d’être jugé d’égoïste aux yeux des autres, vous constaterez tous les bienfaits d’agir par amour plutôt que par peur.

De plus, vous constaterez que votre entourage sera peut-être surpris ou choqué ou déçu au début, mais au fur et à mesure que vous vous permettrez d’écouter vos besoins plutôt que de vous conformer aux attentes des autres, votre entourage vous le permettra. C’est ainsi que nous devenons conscients de notre degré d’acceptation. De plus, vos proches vous admireront d’être capable d’écouter vos besoins. Vous deviendrez un bon modèle pour eux.

Cela ne vous empêche pas de donner ou de faire plaisir aux autres, car lorsque vous le faites par amour, vous êtes assuré de recevoir des autres par amour puisqu’on obtient la récolte de ce qu’on sème.

Avec amour,

Texte inspiré par Lise Bourbeau
(auteure des 5 blessures qui empêchent d’être soi-même).

WakeUp #83 : Bâtissez votre vision pour 2019 !

Pour commencer cet article, je vous propose une petite métaphore :

Je vous invite à imaginer un bateau qui part d’un point A et qui se rend à un point B. Maintenant, imaginez ce même bateau qui part d’un point A et qui n’a aucune idée d’un autre point où se rendre. C’est là que ça devient intéressant ! Dans les deux cas, lorsque la mer est calme, ils voguent tranquillement. Cependant, quand la mer se déchaîne, il y a une différence car malgré la tempête, le premier bateau gardera un cap ; même si il se trouve bousculé et qu’il peut dévier un peu de sa trajectoire, tandis que le deuxième sera balloté dans tous les sens, là où les éléments auront envie de l’emmener et pourra peut-être même s’échouer.

Vous l’aurez bien compris, lorsque nous avons un cap, une vision, ou un objectif dans notre vie, pour notre avenir qu’il soit personnel ou professionnel, même si la vie nous envoie parfois (voire même souvent !!!) quelques défis à relever, nous pouvons garder un fil conducteur qui nous maintient sur notre axe. Le cas échéant, si nous ne faisons aucun choix conscients, c’est la vie qui choisira à notre place.

Alors comment élaborer sa vision et la maintenir ?

Le début d’année est un moment fabuleux pour le faire, la page de 2018 étant enfin tournée (si ce n’est pas encore le cas, tournez la page de vos vieux dossiers 2018 en cliquant ici WakeUp #82), vous allez pouvoir bâtir et visionner les projets qui vous tiennent à coeur… enfin !

Je vous propose de réaliser votre propre tableau de vision appelé également vision board en coaching. Cet outil permet de connecter à son enfant intérieur, cette partie enfantine en nous qui adore créer et jouer !

Comment faire votre tableau de vision ?

  • Posez des intentions que vous souhaitez à vous-même pour la nouvelle année,
  • Achetez une grande feuille (de type Canson) ou joingnez deux feuilles A3 en les scotchant au dos, ou autre dimension si vous préférez,
  • Mettez à votre disposition quelques magasines divers et variés,
  • Munissez-vous d’une paire de ciseaux et d’un bâton de colle,
  • Accordez-vous un moment pour réaliser votre tableau sans être dérangé, c’est un moment rien que pour vous,
  • Prenez ce temps pour respirer calmement les yeux fermés en imaginant votre futur idéal (ce qui est important pour vous) ou pour méditer avant de faire votre tableau de vision.
  • Choisissez le thème de votre tableau de vision : personnel, couple, professionnel, santé, etc… ou tout en même temps est possible aussi,

Une fois que vous avez posé vos intentions et pris un temps pour être tranquille et disponible à vous-même :

  • Donnez-vous un temps imparti pour réaliser votre tableau sans déborder afin que votre mental ne prenne pas la main. Exemple : 45 minutes à 1 heure est souvent suffisant.
  • Feuilletez les magasines puis découper tout ce qui vous fait écho ou qui vous plaît beaucoup.
  • Collez toutes les photos ou images ou mots sur votre tableau dans l’ordre qui vous convient le mieux.
  • Prenez du recul pour voir votre tableau,
  • Notez tout ce qui vous vient spontanément à l’esprit.. peut-être aurez-vous des prises de conscience qui pourront aboutir à des actions décisives pour vous.
  • Affichez votre tableau dans votre chambre à coucher ou une pièce dans laquelle vous le verrez souvent, il rayonnera et vous permettra de maintenir votre cap et votre vision !

Il existe plusieurs façons de faire un tableau de vision dont celle-ci qui est assez simple. Si vous ressentez le besoin ou l’envie d’aller plus loin dans votre démarche de réalisation de Soi, réaliser votre tableau accompagné d’un coach expérimenté peut vous permettre de comprendre davantage de choses et de décoder des blocages inconscients avec plus de facilité et de rapidité. Selon les différentes techniques de coaching, le tableau de vision peut s’avérer un outil très puissant de connaissance de Soi.

A vous de jouer maintenant !
Que vous le fassiez seul(e) ou accompagné(e) d’un coach,
le principal est de passer à l’action !

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Merci et à bientôt ^_^

WakeUp #82 : Comment tourner la page ?

La fin de l’année approche à grands pas et pour la plupart d’entre nous, certaines choses ou certains évènements ont pu être délicats ou difficiles à vivre. L’exercice que je vous propose dans cet article est à faire en fin d’année afin de pouvoir enfin tourner la page sur ces évènements qui n’ont pas toujours été confortables pour vous et pourquoi pas les transformer en forces pour aller de l’avant dans cette nouvelle année qui se présente à vous.

Cet exercice, assez simple en soi, vous permettra de faire un petit bilan :

  • pour voir où vous en êtes dans votre vie maintenant,
  • pour boucler certains de vos vieux dossiers,
  • pour transiter avec davantage de conscience vers la nouvelle année.

Comment faire ?

1- Prenez un temps rien que pour vous, au calme, avec de quoi écrire,
2 – Détendez-vous, faites de cet exercice, un instant privilégié avec vous-même, puis…
3 – Revisitez l’année écoulée, en revoyant à rebours, tous les mois de l’année 2018, puis…
4 – Repérez les situations qui ont été vraiment significatives pour vous (celles qui ont été difficiles et celles qui ont aussi été heureuses ou faciles),
5 – Notez deux de ces situation et pour chacune d’elles, posez-vous les questions suivantes :

Qu’est-ce que j’ai appris au sujet de moi-même ?
Qu’ai-je développé comme qualités et ressources

à travers de cette situation difficile ?

En revenant sur ce qui nous a pétri et touché, sans rentrer dans le jugement, cela nous permet de prendre de la hauteur et d’avoir une vision plus globale et différente de la situation dite « inconfortable ». Dans toute situation, il y a au minimum une ressource qui se révèle sans que l’on s’en rende compte sur le moment.


Boucler tous ces différents dossiers en fin d’année est important pour arriver plus ouvert et confiant au 1er janvier, et même si tout n’est pas complètement résolu, vous vous sentirez plus disponible.
Même si nous ne comprenons pas tout, cela permet de mettre des mots en conscience et de voir la vie davantage dans sa grandeur et dans sa réalisation.

Pour les situations qui ont été heureuses et positives, posez-vous la question suivante :

Quelles qualités ou ressources ai-je exprimées dans cette situation ?

Amener sa conscience dessus nous permet de nous sentir grandi(e), c’est une expérience qui nous construit et qui amplifie notre personnalité positive (égo positif) celui qui aide à agir, à passer à l’action.

La plupart du temps, les autres ne remarquent pas les choses positives qui émanent de nous ou ne le disent pas forcément (que ce soit à l’école, dans le couple, au travail ou même avec ses propres amis).

Posez-vous la question suivante :

De quoi suis-je fier (fière) de cette année écoulée ?

Et notez tous les éléments que vous vous reconnaissez vous-même et ceux dans lesquels vous vous êtes senti(e) reconnu(e) par les autres.

En faisant cela, vous renforcerez votre construction intérieure, votre estime de vous et par conséquence votre confiance en vous ! A vous maintenant !

Je vous souhaite une fin d’année joyeuse et éclairante !

Avec le coeur,

Merci et à bientôt !

WakeUp #81 : Repérer et stopper la rumination

Un des freins les plus courants à l’atteinte du bonheur, ou du moins à la sérénité, est la rumination ; certains parlent même d’ébullition mentale : lorsque les pensées s’agitent et que rien ne semble pouvoir les arrêter.

Ainsi, se posent les questions suivantes :

  • Comment faire pour profiter du moment présent, comment vivre au présent ?
  • Comment réussir à apprécier l’instant ?
  • Comment arrêter de ruminer sans cesse des pensées ? 
  • Et enfin lâcher prise …

Qui n’a jamais été victime de cette rumination mentale, qui nous pompe notre énergie et nous épuise, sans nous faire avancer le moins du monde ?

Voici quelques pistes d’actions à mettre en place.

Tout d’abord, comprendre ce qu’il se passe

Quand on est en train de ruminer, quand notre esprit gamberge, c’est qu’on a quitté l’instant présent, on n’est plus présent là où on se trouve. Il s’agit donc d’abord, de chercher à trouver un moyen de revenir au moment présent.

Eckart Tolle, dans son ouvrage Le pouvoir du moment présent précise en effet que nos problèmes, qui déclenchent cette agitation mentale, ne se trouvent jamais dans l’instant présent. Ils sont toujours, soit derrière nous – et appartiennent alors au passé – soit ils représentent des projections, des inquiétudes qui concernent le futur : des décisions à prendre, des directions à choisir et pour lesquelles on s’inquiète déjà en avance.

L’être humain, par besoin d’anticiper et de diriger, est malheureusement très doué dans ce domaine.

Quelles astuces mettre en place, afin d’obtenir un résultat rapide ?

1. Mener une tâche à bien :

Décider d’agir intellectuellement et manuellement sur une tâche précise en occupant tout notre esprit à cette tâche définie. Cela permet d’aider à revenir dans le moment présent :

  • Cela s’applique à n’importe quelle tâche, même la plus sommaire, comme faire la vaisselle par exemple ou bricoler une pièce de chez soi, réparer un meuble cassé.
    L’exemple de la vaisselle est assez parlant car on a envie de s’en débarrasser rapidement. Mais il y a une autre façon de considérer un acte banal et peu attirant comme celui de faire la vaisselle.
  • Je peux décider de m’y adonner avec toute mon attention, accrue et  focalisée vers cette unique tâche à accomplir. Cela peut même devenir un acte méditatif. Je suis donc pleinement à ce que je fais.
  • Je ne fais aucune projection sur le futur, même proche, même après cette tache réalisée.

Cette action, apparemment simpliste, mais sur laquelle il faut tout de même focaliser son esprit – et l’aspect manuel de la tâche à réaliser aide cette focalisation – va générer une énorme différence de sensation par le retour instantané au moment présent.

Le mental se calme, il est apaisé.
L’acte de réalisation déclenche aussi un sentiment d’accomplissement.

2. Substituer notre émotion de rumination par une sensation physique

Remplacer la souffrance mentale due à la rumination, en portant notre attention sur ce qui est en train de se passer physiquement dans notre corps :

  • Commencez par fermer les yeux, puis observez les sensations physiques du corps à ce moment-là, quand la rumination bat son plein.
  • Cette action peut se faire assis, allongé, debout : laissez vagabonder ce que fait votre mental et ramener votre attention sur ce qui se passe à l’intérieur du corps : repérer, observer en détail les sensations dans certaines parties de votre corps, de haut en bas.
  • Certains ressentis physiques se mettent à apparaître : peut-être des tensions, dans le dos, les cervicales, des engourdissements. Il faut les laisser faire, attendre, les laisser évoluer, puis disparaître.

Cette action permet de passer en mode sensoriel. Ce mode sensoriel, souvent peu évoqué dans notre société cérébrale, permet de se couper de nos émotions, et également de se repositionner dans l’instant présent.

En conclusion

  • Isoler une tâche à accomplir, même petite, même « insignifiante » et routinière, avec un intérêt « limité », peu importe : ce qui compte est de s’y adonner complètement. Bien regarder comment se décompose cette tâche, observer les mouvements, être vraiment là, pleinement à son affaire, jusqu’à l’accomplissement final de la tâche.
  • Utiliser le revécu sensoriel pour observer ce qui se passe dans notre corps, porter l’attention sur les sensations physiques, même minimes. Laisser faire, agir tranquillement, avec douceur et tolérance envers nous-mêmes. Elles vont passer, se calmer peu à peu pour enfin disparaître.

L’esprit, ainsi allégé, repart sur des bases nettoyées.
Un espace de bien-être physique et de repos mental est ainsi obtenu.

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Merci et à bientôt ^_^

Inspiré par Vivre sans peur

WakeUp #80 : Alchimisez vos frustrations

 

Dans notre vie de tous les jours, la frustration est l’une des plus fréquentes sources de difficultés pour la plupart d’entre nous, une chose insignifiante peut nous frustrer pour toute la journée, voir plus. 

Prendre conscience de la fréquence à laquelle nous sommes frustrés ne résout pas vraiment le problème. Quelqu’un qui vous fait remarquer que vous êtes frustré ne fait que vous irriter encore davantage.

Comment alors se débarrasser de nos frustrations et retrouver son calme ?

Comment pouvons-nous retrouver un sentiment de paix juste après que nos émotions négatives se soient déclenchées ?

La réponse ne se trouve pas à l’extérieur car nous n’avons pas le pouvoir de rendre les choses qui nous entourent moins frustrantes. On pourrait en vain espérer des choses telles que :

  • Voir les gens se comporter comme nous voudrions qu’ils le fassent (avec considération),
  • Voir les choses se dérouler comme nous le souhaiterions,
  • Voir notre maison ou notre lieu de travail bien rangé, calme et agréable,
  • Obtenir du calme lorsque nous voulons ce calme,
  • Être plus discipliné par rapport à tous les travaux dans lesquels nous voulons investir,
  • Voir les gens remettre les choses là où elles devraient être,
  • Voir les dirigeants du monde agir de la manière dont nous voulons qu’ils le fassent,
  • etc…

Comme vous pouvez l’imaginer, il n’est pas possible que toutes ces choses se réalisent. Nous n’avons pas les moyens de contrôler les autres et les évènements dans le monde. Les choses ne peuvent simplement pas se passer comme nous le voulons. Et lorsque les choses ne se passent pas comme nous le voulons… nous ressentons de la frustration.

Nous ne pouvons pas résoudre le problème en essayant de régler la situation extérieure. La réponse doit venir de l’intérieur.

Commencez à changer de l’intérieur

Lorsque quelqu’un se montre grossier envers nous, c’est frustrant de penser que nous devons être la personne qui doit changer sa réaction. Pourquoi ne peut-il pas simplement revoir sa manière d’agir ? Mais au fond, une partie de nous sait déjà que nous ne pouvons pas le changer, et nous connaissons la conséquence : la frustration !

Une fois encore, nous devons accepter le fait que la solution à notre frustration ne se trouve qu’à l’intérieur de nous.

Si vous êtes prêt.e pour le changement intérieur, alors commencez par ce processus :

  • Observez quelle est votre tendance habituelle aux situations extérieures frustrantes (le déclencheur).
  • Considérez le résultat que cette tendance apporte. Par exemple, si vous avez l’habitude d’être frustré et rancunier en vous posant des questions comme : « Pourquoi doivent-ils agir comme cela ? »… alors le résultat pourrait être l’insatisfaction, le stress et une détérioration de la relation. Cela peut se manifester aussi par de la colère et du défoulement contre quelqu’un. Puis on se fait bien souvent dans notre tête tout un film qui ne fait que nourrir le ressentiment. Notre mental se met alors en route et comme j’ai l’habitude de le dire, nous ressassons notre histoire « pourrie ».

Il y a donc un déclencheur (la situation extérieure que nous n’aimons pas) et une tendance (notre réaction habituelle au déclencheur) puis un résultat de la tendance (frustration, insatisfaction, déchainement, dégradation de la relation).

Maintenant, je vous invite à répondre aux questions suivantes : Voulez-vous continuer à obtenir ce même résultat ?
Est-ce que ce même résultat vous profite-t-il ? Vous sentez-vous satisfait de ce même résultat encore et encore ?

Si ce n’est pas une habitude qui vous profite, vous pouvez commencer à en créer une nouvelle.

Créez une nouvelle habitude, une nouvelle tendance

Quelle habitude vous serait plus utile ?

Vous pourriez envisager le scénario qui suit : « Je constate que cette personne ou cette situation n’est pas ce que je désire ou ce que j’aime. Je me demande si je peux m’ouvrir et être curieux à son sujet. Je me demande s’il y a un moyen d’être reconnaissant pour ce moment qui m’est donné. Je me demande si je peux trouver un moyen d’aimer ce moment dans son entièreté, je me demande si je peux l’accepter sans juger, je me demande même si je peux avoir de la gratitude pour ce que je suis en train de vivre. »

Cette habitude pourrait être beaucoup plus utile. Essayez et vous verrez.
Sinon, créez votre propre nouvelle habitude.

Ensuite, commencez à enraciner cette nouvelle habitude et à remplacer progressivement l’ancienne. Il est essentiel de s’entrainer, ne vous attendez pas à y arriver immédiatement. Je vous invite à expérimenter encore et encore.

Voici comment mettre en place la nouvelle habitude :

  • Notez lorsque votre ancienne habitude est activée par l’un de vos déclencheurs habituels (une chose que vous n’aimez pas, une personne qui ne se comporte pas bien, votre incapacité à obéir à vos propres normes, etc.).
  • Interrompez l’ancienne habitude et ne vous y attardez pas, même si vous ne la remarquez qu’après l’avoir enclenchée. Par exemple : une minute après avoir déclenché votre ancienne habitude, vous la remarquez… vous vous arrêtez de suite et dites : « Cela ne m’aide en rien, je ne vais plus perdre mon temps avec ça. »
  • Activez votre nouvelle habitude immédiatement. Dites les mots que vous avez planifiés (comme ceux que suggérés ci-dessus), et essayez d’adopter vraiment cette attitude. Ne vous inquiétez pas si vous n’êtes pas au top au début, essayez juste de vous ouvrir à cela.
  • Voyez quel résultat vous obtenez avec cette nouvelle habitude. Faites quelques essais avant d’analyser les résultats (peut-être une dizaine d’essais). Commencez votre entraînement avec des petites frustrations, puis augmentez la difficulté au fur et à mesure.

Si le résultat est meilleur, alors continuez de vous entrainer. Si ce n’est pas le cas, créez une nouvelle habitude et essayez-la. Je vous invite à expérimenter ce qui vous conviendra le mieux. Prenez cela comme un jeu !

Soyez patient avec vous-même, et voyez cela également comme un acte d’amour envers vous-même. Considérez cette approche comme un moyen de réduire votre frustration et votre insatisfaction, et de trouver en retour la paix et le calme à l’intérieur de vous.

Ce sera un beau cadeau que vous vous ferez à vous-même et aux personnes que vous aimez !

Merci et à bientôt ^_^

 

WakeUp #79 : Développez la résilience, une qualité extraordinaire

Cet article est une traduction de l’article Developping Extraordinary Resilience de Léo Babauta,
entrepreneur et blogueur américain célèbre qui a créée notamment le Blog Zen Habits.
C’est donc lui qui s’exprime dans le « je » de cet article. Bonne lecture à tous !

Nous sommes tous assaillis par les difficultés, les obstacles, la douleur, la fatigue et mille autres formes de revers, aussi bien mineurs que majeurs.

Ce qui détermine si nous acceptons ces revers sans sourciller ou si nous les laissons nous abattre, c’est ce que les psychologues appellent « la résilience ». C’est la capacité de se remettre des revers, de s’adapter, d’apprendre, sans se laisser entrainer vers le bas par ces revers.

J’ai compris que la résilience était un facteur important de mes propres expériences. Je suis notamment passé de mes difficultés financières et des changements que j’ai dû faire sur le plan sanitaire au fil des ans, aux difficultés liées à la peur et à l’incertitude liées à la gestion de ma propre entreprise.

La résilience m’a permis de :

  • Courir plusieurs marathons et un ultra-marathon (entre autres défis physiques) malgré des blessures et d’autres revers sur le plan physique.
  • Écrire de nombreux livres et cours, même lorsque je traversais des défis personnels ; même lorsque j’étais aux prises avec mes peurs, les nombreux retards dus à la procrastination et plus encore.
  • Affronter les défis tels que l’endettement ou la baisse de mes revenus avec une attitude positive, et faire face aux défis au fur et à mesure qu’ils se présentent.
  • Élever six enfants (avec l’aide de ma femme), peu importe les difficultés qu’ils rencontrent ou tout ce que j’apporte en ma qualité de père.
  • Faire face aux décès de certains membres de ma famille avec un cœur ouvert, en témoignant non seulement de la compassion pour mon propre chagrin, mais en aidant aussi mes proches à gérer le leur.

Je ne dis rien de tout cela dans l’intention de me vanter, mais je veux simplement vous montrer le pouvoir de la résilience simple. Je ne suis pas plus grand que n’importe quel autre être humain, mais la résilience m’a aidé à faire face à ces difficultés, comme je suis sûr qu’elle l’a fait pour beaucoup d’entre vous.

La résilience est une chose très puissante… mais comment la développer ? Ne vous y trompez pas : il s’agit d’un ensemble de compétences et de capacités qui peuvent être développées au fil du temps. Certes, certaines personnes peuvent naître avec une plus grande tendance à la résilience, mais nous pouvons tous nous améliorer en la matière.

Je vais vous proposer un ensemble de pratiques sur lesquelles vous pouvez travailler, si vous voulez développer une résilience extraordinaire. J’espère que vous les trouverez utiles.

La pratique de la résilience

Chaque fois que vous faites face au stress, à des difficultés, au chagrin, à la douleur, à des obstacles, à des revers, à l’échec, à la déception, à la frustration, à la colère, à l’incertitude (qu’ils soient mineurs ou majeurs)… voyez cela comme une occasion d’exercer votre résilience.

Voici quelques pratiques que vous pouvez essayer :

  1. Remarquez ce que vous ne voyez pas. Lorsque vous êtes frustré, déçu, ennuyé, etc.. c’est parce que vous ne voyez que ce qui manque ou encore le « mauvais » côté des choses. Cela veut dire que vous ne voyez pas la situation dans son ensemble, vous êtes aveuglé — en ce moment où une personne est grossière envers vous, remarquez-vous qu’elle souffre, qu’elle a en elle un cœur tendre et aimant, qu’elle est en fait un don ? Remarquez-vous votre propre vivacité, la lumière du soleil qui vous illumine, les merveilleux sons de la journée qui vous environnent ? À chaque instant, la vie nous fait cadeau d’impressionnantes choses qui peuvent attirer notre attention, et lorsque nous nous concentrons uniquement sur les parties que nous n’aimons pas, nous sommes coincés dans une vision étroite, et par conséquent nous manquons de remarquer les splendeurs de la vie. Quelle est la merveille que vous ne voyez pas ?
  2. Engagez-vous pour quelque chose de plus grand que vous. En tant que père, c’est fou tout ce que je peux faire pour aider mes enfants. Je pourrais accepter de vivre une situation étonnamment désagréable, si en le faisant je les protégeais ; si en le faisant je les aidais d’une quelconque façon — et cela ne ressemblait même pas à un sacrifice. Toute personne qui sert les autres connait ce sentiment : quand on fait du bien aux autres, l’inconfort dans lequel nous nous retrouvons n’est qu’une arrière-pensée. Ainsi, lorsque vous faites face à des difficultés, si vous pouvez relier votre tâche à une chose plus grande que vous-même, comme servir les autres et pas seulement vous-même… les difficultés deviennent beaucoup plus insignifiantes. De cette façon, chaque difficulté peut être considérée comme rien du tout.
  3. Faites preuve de compassion (envers vous-même et les autres). Quand vous souffrez, remarquez simplement cela. Souhaitez-vous la paix et le bonheur, comme vous souhaiteriez la paix à un de vos proches qui souffre. Si quelqu’un en face de vous est en colère, irrité… souhaitez-lui également la paix. Chaque interaction difficile est une occasion pour exercer cette compétence clé.
  4. Considérez les problèmes comme un facteur de croissance. Lorsque vous rencontrez un revers, ce n’est pas la fin du monde… ce n’est qu’un épisode. Aucun voyage digne de ce nom n’est exempt d’inconfort et de revers. Si nous voulons grandir, nous devons relever des défis. Ainsi, je vous encourage à voir la beauté de chaque défi que vous rencontrez au lieu d’y penser négativement. Considérez chaque défi comme faisant partie de votre chemin vers la croissance personnelle.
  5. Pratiquez la flexibilité et l’adaptation. La rigidité n’apporte que de la frustration. Si nous pouvons apprendre à être flexibles et à nous adapter à tout changement de situation, non seulement nous serons plus heureux, mais nous réussirons également mieux dans ce que nous entreprenons. Ainsi, lorsque vous vous trouvez dans une situation difficile, demandez-vous comment vous pouvez vous exercer en vue d’améliorer votre flexibilité. Lorsque vous avez subi un échec, demandez-vous comment vous pouvez vous adapter et vous améliorer afin d’avoir plus de chances de réussir lors de la prochaine tentative. Voyez cet échec comme une occasion de vous améliorer, de devenir plus flexible dans votre façon de penser, de toujours parvenir à vous adapter.
  6. Trouvez de la déliciosité, du plaisir et de la joie dans toutes les situations. Chaque situation incertaine, désagréable ou difficile… contient en elle une sorte d’émerveillement, une sorte de déliciosité, une sorte de plaisir et de joie. Il faut juste que nous trouvions cet aspect de la situation, que nous lui ouvrions nos cœurs. Il faut que nous cessions d’essayer de rejeter cet aspect. Au lieu de cela, il faut que nous le voyions pour la première fois, comme un petit enfant pourrait le faire, et que nous constations la merveille qu’est ce moment dans notre vie.
  7. Considérez que vous pouvez apprendre de tout. Chaque situation que vous traversez est un enseignant. Vous pouvez rejeter la leçon et la voir comme une chose que vous ne voulez pas, ou vous pouvez ouvrir votre esprit à ce qui vous arrive et comprendre ce que vous enseigne cette situation, cette personne, ce revers. Laquelle des leçons ci-dessus vous enseigne-t-elle ? Laquelle des pratiques ci-dessus vous donne-t-elle l’occasion de vous améliorer ? Découvrez-la, et vous aurez une chance d’améliorer votre résilience.Chaque instant, vous avez le choix. Voulez-vous succomber à vos difficultés, souhaitez-vous qu’elles s’évaporent toutes… ou voulez-vous qu’elles vous rendent plus forts, qu’elles vous enseignent, qu’elles vous permettent de profiter pleinement de leurs brillantes leçons et expériences passionnantes ?

    À chaque instant, vous avez l’occasion de vous exercer. Ce n’est pas facile, mais c’est la voie de la résilience et de l’amour.

    J’espère que cet article vous aura permis d’avoir une autre vision de vos dits « problèmes » ou « inconforts » du moment. A présent, c’est à vous de choisir comment vous souhaitez voir les choses.

    Merci et à bientôt ^_^

 

WakeUp #78 : Est-il trop tard pour changer ?

 

A certaines périodes de notre vie, lorsqu’on se prend à en faire le bilan, on a parfois le sentiment douloureux qu’il est trop tard pour changer ou pour réaliser nos rêves.

Dans ces cas-là, insidieusement, une petite voix nous chuchote : « à quoi bon…, j’aurais dû savoir tout ça, il y a 10 ou 15 ans… Maintenant c’est trop tard… Je ne peux plus rien faire, c’est foutu. Mais qu’est-ce que ça aurait été bien que je sache ça avant, ça aurait changé ma vie. Alors je vais le dire aux autres, pour que les autres ne fassent pas la même erreur que moi, comme ça eux feront ce qui leur plaît, ils se bougeront, pour ils vivront leur vie sans attendre ».

Que faire si on est assailli par de telles remarques, comme « je suis trop vieux, les dés sont jetés, c’est trop tard, etc… » 

Bien sûr, chaque situation est unique

  • Rêver un but impossible à réaliser, comme par exemple vouloir devenir champion mondial de foot à 40 ans, parce que ça a toujours été votre passion, et avoir eu un problème physique qui vous en a empêché doit être reconnu, par vous-même, comme impossible à réaliser et ainsi, accepté comme tel. On aura alors plutôt intérêt à travailler cette passion autrement ; par exemple en la partageant avec des jeunes, ce qui vous apportera un échange à la fois gratifiant et vivifiant.
  • Mais d’autres envies sont encore tout à fait réalisables, comme pour le travail ou un style de vie, domaines qui sont souvent la source courante de regrets : par exemple, vous réalisez que vous auriez aimé vivre à tel endroit et vous ne l’avez jamais fait, alors que d’autres l’ont vécu.

Et en écoutant d’autres personnes, vous vous rendez bien compte que, vous-même, auriez très bien pu le faire et que vos excuses de l’époque pour ne pas vous lancer n’étaient plutôt que de la crainte de vous lancer et d’oser.

Parler des regrets et du passé, ça ne sert à rien, ça ne va rien changer.
On ne change rien à ce qui a déjà été écrit, ce qui a été fait.

En revanche, ce que nous pouvons changer, c’est ce qu’il y a devant nous

  • La première prise de conscience est de se convaincre que, ce que l’on peut changer, c’est ce qu’il y a maintenant, et donc ce qui est à venir. Les regrets, qui concernent le passé, ne servent à rien du tout et ne nous font que du mal.
  • Ainsi, chacun peut, à ce moment précis, à cet instant T, décider de réaliser un rêve, une envie, décider de s’y mettre et se mettre en route sans tarder.
  • Peu importe qu’on ne sache pas encore COMMENT on va réaliser cette envie. Ce qui compte, c’est le QUOI, c’est la direction choisie.

Faites la liste de ce que vous regrettez ou
de ce que vous n’avez pas encore osé faire.

Et plutôt que de vivre sur des regrets, décidez d’y aller…
et allez-y lancez-vous !

  • Plus jeune, vous auriez voulu créer une entreprise, être indépendant ? Ça vous a trotté longtemps dans la tête, vous n’avez jamais osé le faire et maintenant vous regrettez et vous voudriez le faire ? Eh bien, faites-le ! Peu importe votre âge, 40, 50, 60, 70 ans… tant que vous en avez l’envie !
  • Internet regorge d’idées inspirantes, de retours d’expérience de personnes qui font exception et réalisent des choses exceptionnelles. Alors que souvent, personne n’aurait pensé qu’elles en étaient capables, soit à cause de leur âge, soit à cause de certaines conditions, comme avoir des enfants en bas âge ou en étant resté longtemps sans travailler.

Gardez en tête que, ce sont ces soit disant « erreurs » de parcours passées (donc
ces mêmes regrets aujourd’hui ressentis) qui ont créées la personne que vous êtes aujourd’hui

  • On a tendance à l’oublier : nous avons tous réalisé des choses extraordinaires, d’autres parfois moins réussies, mais elles ont toutes servi à créer la personne que l’on est devenue aujourd’hui. Alors, aujourd’hui, on peut décider de créer qui on va être, demain, en décidant de se mettre à la barre de notre bateau.
  • Il ne faut pas trop regarder le sommet de la montagne : si on se fixe aujourd’hui un objectif et qu’on veut de suite arriver au sommet, cela risque d’être décourageant et de nous faire caler en route.
  • Après avoir décidé que la destination à atteindre est ce sommet, il faut accepter de démarrer petit, pas à pas, tranquillement… Chaque pas, même petit, nous rapproche de la direction vers le sommet à atteindre.
  • Un pas en déclenche un autre, puis le suivant, et ainsi de suite. Le tout est de ne pas vouloir les faire trop vite, par envie – légitime – d’atteindre ce sommet.
  • Le premier pas n’est pas forcément le plus compliqué car il est guidé par la motivation et la volonté. A ce stade du début, on est toujours plein de motivation.
  • Le problème, c’est que la volonté n’est présente que quelques jours… et qu’ensuite elle peut s’amenuiser, voire même disparaître, avec le risque que notre projet finisse par être mis de côté.
    Donc, il va falloir utiliser d’autres leviers pour ne pas compter sur la seule motivation.
  • L’un de ces leviers est l’annonce publique : annoncer publiquement (à sa famille, ses amis) une résolution, un projet… nous pousse à le maintenir, à le finaliser, à avancer coûte que coûte.
  • Un autre levier est la recherche du plaisir dans ce que l’on fait : Il faut se poser la question suivante « quelles sont les satisfactions que j’obtiens à faire ce que je fais dans ce nouveau projet ?

Ces plaisirs et satisfactions personnelles doivent être contrebalancés avec les désagréments occasionnés à ne pas continuer mon projet. Cela aide dans les moments où la poursuite de l’objectif est tendue et difficile.

En conclusion
Plutôt que de ressasser des regrets sur ce que vous n’avez pas accompli comme souhaité, regardez ce que vous pouvez faire à partir de maintenant dans votre vie.

Il y a un nombre incroyable de possibilités réalisables.

Quand vous vous surprenez à vous dire que « le meilleur moment pour faire quelque chose est passé » (regret) alors gardez en tête que le deuxième meilleur moment de votre vie pour le faire, C’EST MAINTENANT !

Merci et à bientôt ! ^_^

 

Article inspiré d’Eric Goyer

WakeUp #77 : L’importance de la simplicité

J’ai beaucoup écrit au sujet de la simplification de la vie, de la philosophie qui la sous-tend aux étapes tactiques et techniques qui mènent à la simplicité.

Cependant, la vraie clé ne réside pas dans les étapes, mais plutôt dans nos habitudes mentales.

Par exemple, je pourrais bien me débarrasser du bazar physique qui m’entoure et simplifier mes journées afin d’avoir plus d’espace dans ma vie… mais tant que je n’aurai pas revu les habitudes mentales qui m’ont conduit à avoir une vie encombrée, je ne pourrai pas sortir de ce cercle vicieux.

Voici donc ce que j’ai découvert comme étant l’habitude mentale clé menant à la simplicité :
remarquer la tendance de l’esprit à vouloir plus, mais ne pas y croire.

L’esprit en veut toujours plus. Et dans le même temps, il en veut moins — il y a une polarité de notre cerveau qui recherche la simplicité, mais qui en veut encore plus dans le même temps.

Pourquoi l’esprit veut-il les deux choses ? L’esprit en veut plus parce qu’il pense que cela le rendra heureux, parce qu’il voit la possibilité d’acquérir davantage et pense que l’acquisition de nouvelles choses l’aidera à soulager l’incertitude qu’il ressent.

L’esprit en veut moins lorsqu’il se sent stressé et submergé, et veut simplement être soulagé de ce sentiment pesant. Il croit qu’en larguant certaines choses il aura la paix.

Ces deux désirs de l’esprit sont faux, mais ils viennent d’une envie bienveillante.

Pourquoi est-il néfaste de vouloir plus et moins à la fois

Le désir d’en avoir plus est néfaste parce que, comme nous le savons tous, vous pouvez ressentir une certaine joie lorsque vous recevez un nouveau colis par la poste… mais habituellement, cette joie ne dure même pas toute une journée ; encore moins quelques jours. Ce pic de dopamine dans notre organisme suscité par l’envie et le fait d’acquérir plus est très temporaire… et cela ne nous rend pas heureux à long terme. Cela ne nous donne pas vraiment ce que nous espérons obtenir de la vie ; cette envie ne nous libère pas non plus de nos incertitudes.

Pensez à ceci :

  • Si vous vous faites du souci au sujet d’un voyage à venir, vous ferez des recherches sur la destination, vous achèterez de nouveaux vêtements ou des équipements pour vous sentir mieux préparé, vous ferez des plans et mettrez tout en place. L’incertitude ne disparait cependant pas, vous vous êtes simplement occupé à essayer d’avoir le contrôle de la situation et à vous en servir comme d’un moyen de faire face au stress de l’incertitude.
  • Vous adoptez un nouveau passetemps et vous êtes excité par les possibilités impressionnantes qu’il offre. Bien sûr, il vous a fallu acheter de nouvelles choses pour pouvoir profiter pleinement de votre passetemps, mais ce n’est pas grave, car vous allez vivre grâce à cela une nouvelle vie bien meilleure, n’est-ce pas ? En fait, votre vie pourrait même changer, mais ce ne sera jamais ce dont vous rêviez. Votre esprit vous joue simplement des tours.
  • Vous avez acquis ce joli nouveau sac, gadget, outil ou vêtement et vous vous dites : « Oh, la vie n’est-elle pas belle ? » Cependant, peu de temps après, votre vie redevient normale, sans s’être améliorée, sinon que désormais vous êtes un peu plus pauvre et vous avez un nouvel outil qui encombre votre espace.

Ainsi donc, lorsque l’esprit veut plus, il cherche simplement à trouver le bonheur ou à se libérer du stress. Aucune de ces deux conditions ne réside réellement dans le fait d’acquérir plus de biens, mais cela n’empêche pas l’esprit d’essayer.

D’autre part, le besoin de l’esprit de vouloir moins est juste un désir de paix. Et ce n’est pas une mauvaise chose. Vous obtenez un peu de paix, je pense, quand vous réduisez vos possessions ou vos engagements. Créer de l’espace est nécéssaire. Toutefois, au bout du compte, votre esprit trouvera toujours de quoi se plaindre — si ce n’est pas le fait de ne pas posséder assez de choses ou d’avoir trop de choses à faire, ce sera l’ennui ou la fatigue ou encore l’irritation.

La clé, c’est de changer vos habitudes mentales.

Changer les habitudes mentales

Changer les habitudes mentales est un exercice assez difficile. Vous devez être très conscient de vos pensées afin de pouvoir les changer.

Néanmoins, je vous invite à ne pas laisser un défi aussi difficile soit-il vous empêcher de passer à l’action !

Le processus est simple :

  • prenez conscience de vos habitudes mentales au fil du temps,
  • voyez quels sont leurs effets néfastes,
  • arrêtez de croire aux pensées,
  • faites un effort pour les changer,
  • arrêtez de chercher la perfection à tout prix !

Ainsi, avec l’habitude mentale de toujours en vouloir plus, vous pourriez simplement remarquer le fait que vous êtes en ligne et que vous cherchez encore un nouveau gadget à acheter, ou que vous êtes sur Amazon ou une autre boutique en ligne sur le point d’appuyer sur le bouton « Ajouter au panier ». C’est un bon signal vous indiquant que votre esprit en veut davantage pour être plus heureux et/ou pour se libérer de l’incertitude.

Lorsque vous remarquez cela, posez-vous les questions suivantes :

  1. Qu’est-ce que je crois obtenir si j’achète cela ? Plus de bonheur ? Moins d’incertitude ?
  2. Cette croyance est-elle vraie ?
  3. Quel effet cela a-t-il sur moi ? Croire cela m’aide-t-il ?
    Cela m’est-il nuisible ?
  4. Comment serais-je si je n’y croyais pas ?

 

Ainsi, si j’essaie d’acheter du nouveau matériel de voyage, je pourrais remarquer que je crois que le fait de me procurer ce matériel me rendra moins incertain. Quand je me demande si c’est vrai, je réponds : « Non, je sais par expérience que ce n’est pas vrai. Je ressentirai toujours de l’incertitude. »

Je remarquerai aussi que cette croyance est nuisible, parce qu’elle encombre ma vie de plus en plus et vide mon compte bancaire, et cet état de choses ne m’aide certainement pas.

Comment serai-je si je n’y croyais pas ? Je serai moins enclin à acheter, plus apte à accepter mon incertitude et à trouver la paix, sans avoir besoin de m’en débarrasser.

J’essaie donc de changer cette croyance en me disant :

  • Je n’ai pas besoin de ce nouveau gadget
  • Je sais que cela n’apaisera pas mon incertitude
  • M’ouvrir à l’incertitude avec un cœur aimant est la voie à suivre

Puis, j’essaie de ressentir pleinement l’incertitude, en l’appréciant autant que j’apprécie le chocolat ou que j’aime rire. De cette façon, je ressens la beauté de la vie au milieu de l’incertitude.

C’est ainsi que nous pouvons changer nos habitudes mentales. Avec conscience, avec honnêteté, avec un cœur ouvert, et avec appréciation pour expérimenter l’immense joie de vivre au milieu du chaos.

Merci et à bientôt ^_^

 

Note : inspiré de Léo Babauta.

WakeUp #76 : Les gens heureux ont un secret !

 

Pour aborder le quotidien dans toutes ses dimensions, un esprit rationnel et logique ne suffit pas. Celui-ci est bien-sûr nécessaire, car il nous permet d’organiser nos connaissances, de comprendre et d’apprendre à partir de nos expériences personnelles. Mais pour devenir conscients de la façon dont nos pensées et nos émotions influencent les évènements qui s’agencent autour de nous, nous devons aussi apprendre à utiliser notre intelligence créative, intuitive et sensible. C’est alors que nous pouvons revenir dans l’espace de notre coeur et mettre en lumière nos vraies valeurs.

Le célèbre psychiatre Carl Gustav Jung définit quatre fonctions pour appréhender la réalité, dont l’importance respective caractérise les différents profils psychologiques : la pensée (rationnelle), le sentiment, la sensation et l’intuition.
Ce n’est qu’en apprenant à utiliser toutes nos fonctions psychologiques que nous pouvons devenir un être accompli, c’est-à-dire véritablement maître de son destin.

En utilisant notre intuition, nous avons la réelle capacité de provoquer des occasions favorables, des coups de chance qui se répercutent sur tous les domaines de notre vie. Chacun de ces coups de chance est une occasion de vérifier l’extraordinaire potentiel créateur et intuitif dont nous disposons. Et nous découvrons combien nous pouvons agir sur notre destinée et concrétiser ce qui nous rend  vraiment heureux. Ecouter notre intuition, c’est entrer en résonnance avec le pouvoir du coeur !

En vous familiarisant avec votre processus intuitif, vous comprenez comment interpréter de manière juste les messages de toutes sortes qui vous parviennent. Peu à peu, vous apprenez à devenir pleinement conscients du monde qui vous habite et du monde qui vous entoure. Vous comprenez mieux les liens et les échanges permanents qui existent entre ces deux mondes, extérieur et intérieur. Vous accédez à votre vérité intérieure, comme celle de l’autre. Vous pénétrez derrière l’apparence des choses.

Au quotidien, l’intuition donne la main à la confiance !

En effet, la confiance que vous accorderez à votre intuition se développera au fur et à mesure que les faits viendront valider votre intuition. Cela vous fera comprendre qu’elle n’est pas un pouvoir surnaturel réservé à quelques-uns, mais bien une capacité dont chaque humain dispose. Si vous la développez, elle vous donnera une vraie orientation sur l’action juste à accomplir.

L’intuition peut être utilisée chaque jour et pour toutes sortes de questions. Grâce à votre persévérance, l’énergie dynamique de l’intuition amènera un véritable changement, intérieur tout autant qu’extérieur. En vérifiant les résultats que vous obtiendrez au fur et à mesure de votre travail, vous saurez que vous pouvez vous fier à elle car elle vous aura permis de prendre les bonnes décisions et vous remarquerez qu’il deviendra beaucoup plus facile de faire des choix et de prendre des décisions dans votre vie.

Chacun a un impact sur le monde et pourrait rendre l’humanité plus juste... en cultivant le respect envers lui-même et donc envers autrui et la Nature. Nous sommes dans un passage où il devient impérieux de réveiller notre conscience, notre intuition et notre coeur.

En se changeant soit-même, on change le monde !

Certains se sentent heureux et veulent l’être davantage, d’autres ont tout pour être heureux mais ne le sont pas, d’autres encore croient que le bonheur n’est pas pour eux. A tous ceux-là et à ceux qui ne savent pas comment utiliser leur intuition et qui désirent apprendre à le faire… car oui cela s’apprend, vous pouvez aussi suivre le prochain module de la Formation :

Développez Votre Intuition
qui aura lieu du 12 au 14 octobre 2018 à Roussas (Drôme).

Cette formation de 3 jours vous permettra d’apprendre une méthodologie simple et efficace et de comprendre comment actionner votre sagesse intérieure afin d’augmenter votre confiance en vous pour prendre les décisions les plus justes dans votre vie quotidienne.

Pour tout renseignement, merci de me contacter par mail :
contact@georgiavergier.fr
ou par téléphone au 06 78 21 69 22

Découvrez la force de l’intuition,
comment la suivre en toute confiance dans la vie quotidienne

Fiche détaillée de la formation Développez Votre Intuition

 

Pour en savoir plus : Coachez votre intuition, le pouvoir du coeur de Vanessa Mielczareck.