WakeUp #56 : Comment élargir sa zone de confort pour être heureux ?

 

Agrandir sa zone de confort pour être heureux, pour enfin oser être soi-même, s’affirmer et avancer vers la réalisation de ses rêves… n’est-ce pas au final tout ce que nous recherchons ?

Qui que vous soyez, où que vous habitiez, vous avez forcément des aspirations qui dépassent le cadre de votre quotidien.

Et vous avez aussi certainement des peurs et des blocages qui vous empêchent de vous lancer dans vos projets, et c’est normal. Le changement, bien qu’étant la seule constante dans la vie de l’Homme est aussi une source d’appréhension et de doutes. Alors comment faire pour accepter le changement, pour garder l’ouverture d’esprit nécessaire et la volonté d’accepter les challenges de notre quotidien afin de voir de vraies opportunités pour grandir ?

Agrandir sa zone de confort pour être heureux : un moment décisif

On ne peut pas révolutionner son existence entière, ses habitudes et sa manière de penser en une journée. C’est évident. Le changement, c’est comme tout, ça s’apprend. Vous devez l’apprivoiser. Afin d’éviter de le voir comme un ennemi potentiel qui fait peur, vous pouvez apprendre à vous en faire un allié.

Tout d’abord qu’est-ce qu’une zone de confort ?

La zone de confort, c’est ce qui vous est déjà familier, c’est ce que nous connaissons déjà, les personnes, les habitudes du quotidien, etc….
Ce que je vous propose est de l’agrandir tranquillement à votre propre rythme. Repoussez vos limites tout en douceur et d’une manière simple.

Ce qui compte, c’est l’expérience et la persévérance. Le ressenti que vous avez au moment de tester quelque chose de nouveau. Élargir sa zone de confort, c’est comme se trouver en haut d’une corniche, avec un élastique attaché aux pieds. Cela peut nous faire peur et nous arrêter alors que nous pouvons pourtant être motivé. Ce processus est normal, votre cerveau est en train de vous alerter d’un danger, c’est nouveau donc c’est dangereux.

Le moment de faire le premier pas est celui qui fait le plus peur. Mais une fois lancé, on sait qu’on relève un défi exaltant. Le principal est de commencer par un premier petit pas, puis un autre et ainsi de suite de façon à nous habituer au changement d’une manière douce. Le but n’étant absolument pas de se mettre en danger de quoi que ce soit. L’objectif principal étant d’élargir sa zone de confort pratiquement sans s’en apercevoir… créer de nouvelles habitudes qui soient positives pour votre bien-être.

Sortir de sa zone de confort de manière progressive

Pas besoin de viser des choses extraordinaires directement tout de suite. Vous pouvez et vous devez commencer simplement avec des petites choses qui vous prouveront que vous êtes tout simplement apte à opter pour la différence. L’important, c’est la répétition. L’habitude que prend votre cerveau à accepter la nouveauté.

Voici une idée à mettre en pratique : chaque jour, vous pourriez faire 1 à 2 choses que vous n’avez pas  l’habitude de faire. Changer quelque chose dans votre alimentation (juste un seul aliment pour commencer), découvrir de nouvelles saveurs en cuisine, écouter de nouvelles musiques, lire de nouveaux livres ou journaux, découvrir de nouveaux loisirs qui occupent votre temps libre, acheter un nouveau vêtement d’une nouvelle couleur,….pourquoi pas ? La liste est infinie n’est-ce pas ?

Commencez le plus simplement du monde. Et vous verrez qu’au fur et à mesure, vous arriverez plus simplement à accepter le changement et à refuser la peur de l’inconnu.
Ce sont bien souvent les choses les plus simples qui fonctionnent le mieux !

Alors…à vous maintenant !

Que pourriez-vous changer dans votre quotidien qui agrandirait votre zone de confort actuelle ?

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WakeUp #55 : Libérer sa relation à l’argent. Suite

 

Envie d’aller plus loin pour libérer
vos croyances limitantes liées à l’argent ?

 

Comme je vous le mentionnais dans l’article précédent « Libérer sa relation à l’argent – Part 1 », le domaine de l’argent est sensible et tabou pour certains ou encore une source d’inquiétude pour d’autres, qu’il soit adoré ou détesté, l’argent ne laisse jamais indifférent.

Il mérite donc que l’on s’y attarde pour mieux comprendre les mécanismes inconscients qui se jouent en nous à son sujet. La Relation Miroir mentionné dans « Libérer sa relation à l’argent – Part 1″ peut déjà nous permettre de comprendre pourquoi nous réagissons de telle ou telle façon avec certaines personnes et dans certaines situations. Cependant, nous pouvons avoir en nous aussi certaines croyances inconscientes qui peuvent nous empêcher d’attirer le meilleur pour nous-même. En voici quelque-unes :

  • Si vous avez des peurs comme celle de manquer,
  • Si vous pensez que l’argent est mauvais,
  • Si vous croyez ne pas le mériter,
  • Si vous avez les mêmes croyances que vos parents qui eux-mêmes ont peut-être manqué,
  • Si enfin vous ne vous sentez pas libre au niveau financier pour ne plus y penser et vivre sereinement,

La suite de cet article peut vous intéresser :

Lilou Macé, de « La Télé de Lilou » et Christian Junod, ex-banquier suisse reconverti en coach et auteur nous proposent un angle de vision différent, pour nous amener à nous libérer enfin de notre rapport à l’argent de manière ludique.

Envie de vous lancer dans cette nouvelle aventure ?

Le prochain Défi des 100 jours spécial Argent et Abondance débutera à partir du 13 janvier 2018. C’est la date du lancement officiel, pour tester ce nouvel outil de développement personnel et pour libérer ce qui peut rester de vieilles croyances limitantes liées spécifiquement au domaine de l’argent. Mais vous pouvez à tout moment commencer votre propre défi.

Êtes-vous prêt à vous lancer et à recevoir ?

Et si vous vous autorisiez à recevoir pleinement l’abondance sous ses innombrables formes, à quoi ressemblerait votre vie ? Ce tout nouveau cahier du Défi des 100 jours est un compagnon sur 100 jours pour transformer votre rapport à l’argent et vivre l’abondance.

Êtes-vous prêt à recevoir ?

Lilou Macé et Christian Junod vous accompagnent pendant 100 jours pour vivre un chemin intérieur qui aura des effets insoupçonnés dans votre quotidien.
Oser casser le tabou de la relation à l’argent, c’est faire un acte courageux et libérateur. C’est cesser de croire et d’entretenir des croyances de société qui nous limitent. C’est dire oui à plus de joie dans votre vie, être émerveillé au quotidien, vivre plus grand, tout en étant vous-même.

Ce Défi des 100 jours vous amènera à de nouvelles réflexions, à des prises de conscience et transformations nécessaires, à aborder des situations plus sereinement, plus ajustées et, enfin, à vous donner la valeur infinie qui est la vôtre. S’engager dans ce programme de 100 jours, c’est comme s’ouvrir à la vie, à ses rêves et à soi-même.

Êtes-vous prêt ? Pour celles et ceux qui décideront de se lancer comme moi, je vous donne rendez-vous fin avril pour faire un premier bilan de cette aventure… alors nous nous retrouvons au printemps pour faire le point !!!

Le lancement officiel du prochain Défi débute le 13 janvier 2018, pour ceux qui souhaiteraient aussi participer avec la communauté sur Facebook, une page a été prévue à cet effet. Sinon vous pouvez commencer quand vous voulez au moment de votre choix.

Pour commander le cahier du Défi des 100 jours spécial Argent et Abondance,
cliquez sur l’image ci-dessous :

WakeUp #53 : Êtes vous dans le flow ?

 

Savez-vous ce qu’est le flow ? Cet état de bien-être intérieur qui arrête le temps et fait taire notre ego. N’est-ce pas ce que nous recherchons tous dans nos vies ? Mais en quoi consiste-t-il et comment l’activer ?

En psychologie positive, le flow (littéralement flux en anglais), ou la zone, est un état mental atteint par une personne lorsqu’elle est complètement plongée dans une activité qu’elle aime et se trouve dans un état maximal de concentration, de plein engagement et de satisfaction dans son accomplissement.

Fondamentalement, le flow se caractérise par l’absorption totale d’une personne dans son occupation avec une sensation de distorsion de la perception du temps. L’activité devenant elle-même une source de satisfaction absolue. En bref, quand nous adorons faire quelque chose et que nous sommes totalement absorbé par notre tâche, nous ne voyons pas le temps défiler… ça vous parle ?

Une concentration intense focalisée sur le moment présent.
Atteindre le flow se dit aussi « être dans la zone »

Ce concept, élaboré par le psychologue Mihály Csíkszentmihályi, a été largement repris dans de nombreux domaines, du sport à la spiritualité en passant par l’éducation et la séduction, bien qu’il ait existé depuis toujours sous d’autres formes, principalement dans les religions orientales.

Selon Csíkszentmihályi, le flow est un état totalement centré sur la motivation. C’est une immersion totale, qui représente peut-être l’expérience suprême, en employant les émotions au service de la performance et de l’apprentissage. Dans le flow, les émotions ne sont pas seulement contenues et canalisées, mais en pleine coordination avec la tâche s’accomplissant. Grâce aux recherches de ce pionnier en la matière, nous savons désormais que nous sommes tous en capacité de mettre le flow dans de notre vie. L’excellente nouvelle est que cela est à la portée de chacun d’entre nous.

Le trait distinctif du flow est un sentiment de joie spontanée,
voire d’extase pendant une activité que l’on aime faire.


Le 
flow, un accès direct au bonheur

Et si je vous disais que l’acquisition des biens matériels ne joue en rien sur le flow, le croiriez-vous ? C’est pourtant ce que démontrent les études de ce psychologue hongrois. La belle maison, la piscine dans le jardin ou la montre en or n’ont pas vraiment d’impact sur le bonheur, en tout cas pas sur le long terme. Par contre, le fait de se consacrer pleinement à une activité qui nous fait plaisir nous mène directement à l’état extatique dont il est question. Mais ce n’est pas si simple que cela en a l’air. Car cette expérience intense qui nous fait dire « voilà pourquoi la vie mérite d’être vécue » n’est pas entretenue par la majorité des individus.
Pourtant, elle est à la portée de tous. L’idée repose principalement sur le
fait d’avoir le sentiment de créer quelque chose de nouveau, en étant absorbé en totalité par la tâche effectuée. A tel point que le corps disparaît, tout comme la faim, la fatigue, la notion du temps ou l’image de soi.

Comment entretenir ce flux spontané ?

Oubliez les heures perdues devant la télévision ou les réseaux sociaux (à moins de rechercher une information précise), vous ne trouverez jamais le flow dans une action où vous êtes passif, voire apathique.
Cherchez plutôt du côté de vos passions, de ce qui vous sort de la routine quotidienne, de ce qui vous fait passer dans une autre réalité. Certains auront juste besoin d’écrire ou de dessiner, pour d’autres de jouer d’un instrument de musique ou de chanter, de peindre ou faire du sport. Les artistes sont les champions pour vivre pleinement le flow.

 

« Paradoxalement, c’est lorsque l’individu agit librement pour le plaisir de l’action elle-même et non pour un autre motif qu’il apprend à devenir plus qu’il n’était auparavant »,
atteste Csíkszentmihályi,

La majorité des spécialistes en psychologie positive s’accordent à dire que le flow est particulièrement accessible aux personnes compétentes dans un domaine en particulier. Ces dernières ont développé des techniques de telle sorte qu’elles agissent avec facilité, spontanéité et sans effort. Si vous désirez connaître l’état de flow, ne visez pas absolument le succès ou toute forme de récompense. Lâchez prise quant au résultat à atteindre et concentrez-vous uniquement sur ce qui vous anime et qui réunit plaisir et compétences.

Au final, à retenir…

Focalisez sur vos points forts ! C’est un des secrets. Certes, la société ne nous a pas toujours encouragés à penser de cette façon. Pourtant, les solutions reposent, en partie bien sûr, sur cet état d’esprit pour un mieux-être avec soi-même et avec les autres. « Pour entrer dans cet état de concentration intense, il faut s’appuyer sur ses points forts, ses qualités et réorganiser toute notre vie autour de notre travail, de nos amours, de nos loisirs, de nos amis et de nos relations familiales », martèle l’américain Martin Selgiman, une autre sommité en psychologie. En soulignant ce qui vous rend unique et ce que vous adorez faire, vous pourrez alors connaître le flow, qui n’est pas réservé qu’aux autres.

A vous maintenant ! Combien de temps pourriez-vous libérer pour trouver ce canal propice au bonheur ?
Qui comprend la détente, le développement de vos capacités, de votre créativité, de votre performance, de votre motivation, de votre confiance en vous et de…. votre plaisir. Car le flow tient en lui tout ceci à la fois.

Cette sensation que vous avez expérimentée peut-être de façon fugace est là, disponible pour vous.
Il suffit de la chercher, puis de l’entretenir. Alors…. à vos passions les amis !

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WakeUp #52 : Comment arrêter de se plaindre ?

 

Ce qui ronge l’individu, ce sont ses peurs et ses pensées négatives qui le bloquent. Le pessimisme et les blocages nous empêchent de vraiment être en contrôle de notre vie. 

En tant que coach, je ne répéterais jamais assez que la qualité de notre vie dépend de la qualité de nos pensées et de nos émotions. Et évidemment tout commence par le fait de sortir d’un positionnement de victime.

Voici donc 5 clés concrètes pour arrêter de se plaindre :

1. Si le verre est à moitié vide… il est aussi à moitié plein

Dans la vie, tout est question de perspective. Une certaine manière de voir les choses. On a souvent tendance à se trouver des excuses dans nos difficultés du moment. Mais chaque challenge est une opportunité afin de se prouver qui on est, il nous permet de nous connaître mieux et parfois de nous dépasser. Une difficulté peut mettre au grand jour de réelles capacités que l’on ne soupçonnait même pas. Il y a toujours quelque chose à apprendre d’une situation difficile. En prendre conscience est une clé importante pour arrêter de se plaindre.

2. Considérer l’échec pour ce qu’il est

On a tous peur de ne pas réussir ce que l’on entreprend… et bien on ne devrait pas. Parce que l’échec est tout sauf la preuve d’un manque de talent ou de capacités. Il est comme une lanterne qui éclaire notre chemin. On pourrait le voir aussi comme un professeur qui nous apprend et qui nous montre quelles solutions ne fonctionnent pas. Échouer au final, c’est se rapprocher un peu plus de la réussite. C’est aussi simple que ça !

3. Relativiser en étudiant son environnement

On se plaint parce que l’on regarde autour de nous les gens qui ont plus. Et notamment parfois ceux qui, selon nous, ne méritent pas tout ce qu’ils ont. Par contre, on oublie la chance que l’on a de pouvoir manger à sa faim ou d’avoir un toit au dessus de notre tête, un lit pour dormir et un certain confort. D’avoir un compte en banque avec de l’argent qui tombe dessus tous les mois. La comparaison rend toujours amer et ne sert à rien. Parfois, elle permet d’ouvrir les yeux. Le choix est entre nos mains !

4. Comprendre qu’il n’est jamais trop tard pour changer sa vie

En restant négatif, nous oublions un principe essentiel : celui de voir les opportunités qui nous entourent et que chacun de nos choix peut changer notre vie.

Pour arrêter de se plaindre, il convient d’ores et déjà de comprendre qu’une situation n’est jamais totalement figée, à condition d’être ouvert d’esprit et de vraiment chercher à s’en sortir, on trouvera un moyen.

Lorsque nous restons dans la complainte, il est difficile de trouver des solutions. Nous apprenons sans cesse. La vie est en perpétuel mouvement. Alors pourquoi se focaliser sur l’épreuve quand les clés de la résolution sont là, à portée de main ?

5. La fierté vient de la réalisation

Une autre clé toute simple qui peut aider pour arrêter de se plaindre est celle de s’appuyer sur ses victoires passées et de réaliser qu’on a toujours été apte à retomber sur nos pieds, que l’on a su s’adapter.

Nous avons en nous beaucoup plus de ressources que l’on ne l’imagine, il faut juste se donner les moyens d’aller les chercher, ce qui nous fera ressentir un sentiment de fierté. Et clairement, cela mettra une meilleure dynamique en place dans notre vie. Se plaindre n’apporte rien. Ni à vous, ni aux gens qui vous entourent. Vous n’améliorerez votre image qu’en partant en quête de solutions concrètes.

Et cet état d’esprit est toujours décisif pour lancer un cercle vertueux d’accomplissements !

« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité,
Un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté ».
Winston Churchill


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WakeUp #51 : Découvrir la puissance de l’intuition

 

Intuition : vers une vision plus éclairée de la vie

Guider, trouver le sens d’un problème, percevoir le véritable état d’une personne, inspirer le chercheur ou le créateur relève du domaine de l’intuition. Grâce à son action anticipatrice et pénétrante, elle donne le sens d’une situation avant que tous les éléments de celle-ci ne soient connus ou identifiés.

Etymologiquement intuition vient du latin « intuitio, intuitum » se rapporte à l’acte de regarder attentivement. Le mot intuition définit un mouvement « in » (de l’intérieur) et « tui » (jaillit) « tio » (vers l’extérieur)

Elle va à l’essentiel, vers la réalité des choses, au-delà de toute apparence. L’intuition est une source de connaissances et de compréhension qui se manifeste au travers d’images, d’impressions et de messages verbaux. Quelque soit son mode d’expression, elle présente toujours un caractère d’évidence et de vérité pour soi et concerne des couches très diverses du savoir. Se relier à son intuition, l’écouter, lui faire confiance et suivre sa guidance permet de retrouver son pouvoir personnel. Lorsque nous avons des choix à faire ou que nous ne comprenons pas une situation, nous avons tendance à demander autour de nous les réponses ou les solutions. Notre entourage peut nous donner sa propre « vision » des choses, il est néanmoins important de savoir que ces réponses sont colorées de leur expérience de vie. Ce qui est valable pour autrui ne l’est peut-être pas pour nous.

Aussi, cultiver son intuition, c’est accéder au discernement afin de se ré-approprier son propre savoir. Nous pouvons considérer que chaque personne est une auto-organisation parfaite et toutes les clés, les réponses et solutions dont nous avons besoin sont en chacun de nous.

Nous avons tous le choix de prêter attention à ce que notre intuition révèle et d’agir en fonction de cela ou de l’ignorer, et de nier ces informations et les mettre de côté. C’est bien souvent (après coup bien sûr !) que nous comprenons combien notre intuition était juste et pertinente. Nous constatons le fait que bien des tracas, des soucis et pertes d’énergie auraient pu être évités si on l’avait écoutée.

Sommes-nous tous intuitifs ?

La réponse est oui. D’un point de vue physiologique, l’intuition ou 6ème sens est une fonction psychique de l’hémisphère droit du cerveau. Elle est reliée au principe féminin présent en chacun de nous, que nous soyons homme ou femme. Au quotidien, l’intuition donne la main à la confiance. La confiance que vous accorderez à votre intuition se développera au fur et à mesure que les faits viendront valider votre intuition.

Comment développer votre intuition ?

Si vous avez envie de :

  • Donner du sens à ce qui vous arrive,
  • Profiter des bienfaits d’un état d’esprit positif,
  • Dépolluer votre mental du négatif,
  • Dompter vos émotions négatives,
  • Cesser de vous juger et de lâcher les projections sur autrui,
  • Augmenter votre confiance en vous et rehausser votre estime personnelle,
  • Déployer vos aptitudes féminines et masculines,

Je vous propose d’expérimenter à l’aide d’une méthodologie simple et accessible,
tous les bienfaits pour aller à la découverte de votre intuition et réveiller votre guide intérieur.

Pour celles et ceux qui le souhaitent, en qualité de Facilitatrice agréée
par LUNION FORMATION, Ecole de Coaching et d’Intuition N°1 en France
j’animerai le Module Intuition Niveau 1 :

« Développez Votre Intuition »
les 9, 10 et 11 décembre 2017
à MONTELIMAR

Je suis intéressé(e) pour m’inscrire à ce module

Dans ce cas, cliquez sur ce lien afin de me laisser
un message par mail afin que je vous contacte.

 

  • Vous apprendrez à vous installer dans le mode intuitif et vous découvrirez la technique de la
    communication intuitive.
  • Vous établirez des liens entre l’intuition et la structure du coaching.
  • Vous travaillerez sur 5 plans : mental, émotionnel, physique, énergétique et spirituel,
  • Vous travaillerez sur les freins qui empêchent le fonctionnement naturel de votre intelligence intuitive (émotionnelle, de coeur), aptitude essentielle du coach, de l’accompagnateur,
  • Vous expérimenterez la technique de la lecture intuitive,
  • Vous découvrirez un niveau de langage symbolique et apprendrez le décodage pour donner du sens à vos perceptions.
  • Tous les échanges étant à 93% non verbal, l’intuition vous permettra de devenir excellent dans la méta-communication, l’échange, l’écoute réelle et profonde.

A l’issue de ce Module une attestation de formation professionnelle
de Coaching Intuitif vous sera délivrée.

« Développez Votre Intuition »
Dates : du 9 au 11 décembre 2017
Tarif : 450€

Je développe mon intuition maintenant !
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Je reste à votre écoute pour toute question et renseignements complémentaires.

Merci et à bientôt !

 

WakeUp #50 : MBSR… comment trouver le bonheur ?

 

Le Docteur Jon Kabat-Zinn est le créateur de la Méthode MBSR
(Mindfulness Based Stress Reduction)
Traduction : « Réduction du stress basé sur la pleine conscience ».

Il a été le premier à introduire la pleine conscience en Occident à la fin des années 70. Il a su transcrire les enseignements des sagesses orientales dans un langage accessible et a aussi consacré des études scientifiques à ce sujet.

La science a constaté les effets positifs de la pleine conscience sur le cerveau, le système immunitaire et les relations sociales.

Quel est selon vous le meilleur moyen de trouver le bonheur ?

Le plus important, c’est de méditer ou d’effectuer des exercices de pleine conscience, de préférence chaque jour. Prendre le temps de s’assoir sur son coussin de méditation ou de s’allonger, c’est un geste radical en faveur de sa santé mentale. Beaucoup croient que méditer, c’est ne rien faire ! L’être humain est très fort pour agir, pour obtenir des résultats. La pleine conscience, c’est tout le contraire : elle nous fait passer du mode « faire » au mode « être ». C’est reconnaître que chaque instant est déjà, ici et maintenant, un moment exceptionnel et extraordinaire.

Pourquoi est-il si difficile de vivre l’instant présent ?

Nous n’avons jamais appris à le faire. Dans notre cerveau, le muscle de l’attention est ramolli. En moins d’une seconde, nous re-basculons dans notre mental, nous laissant entraîner hors de l’instant présent par toutes sortes de pensées et de sentiments sur le passé et l’avenir. Notre esprit est tel un tigre qui traîne sa proie de tous les côtés. Pratiquer la pleine conscience n’est rien d’autre que faire travailler le muscle de l’attention : plus on l’exerce, plus il se renforce, et mieux on arrive à maintenir son attention ici et maintenant. Les scanners du cerveau montrent que les circuits cérébraux associés à l’expérience de l’instant présent deviennent plus actifs et que leur câblage s’épaissit. Au contraire les circuits où tournent en boucle les histoires qu’on s’invente sur soi et sur les autres deviennent plus petits et moins actifs.

Faut-il beaucoup s’entraîner pour devenir pleinement conscient ?

Il n’y a pas de règle, c’est l’attention qui compte. Le but c’est de se sentir chez soi, en soi dans la situation qui est la nôtre à ce moment-là. L’instant présent porte déjà en lui tout ce que nous croyons trouver dans l’avenir, mais nous ne nous en rendons pas compte. Nous croyons toujours avoir besoin d’autre chose pour nous sentir accomplis ou heureux, mais nous oublions que la vraie vie, c’est ici et maintenant. Voilà ! Si vous ne saisissez pas ce moment, votre vie risque de passer sans que vous vous en aperceviez…et sans que vous ayez tiré tout le parti possible des chances qui vous ont été offertes. Notre mission est de savoir qui nous sommes vraiment, de vivre la vie que nous avons à vivre et pas de devenir avocat ou médecin parce que c’est ce que voulaient nos parents.

Et quand on ne sait pas ce que l’on veut ?

C’est formidable d’en prendre conscience. Parce qu’ensuite on peut se demander : « Qui est ce moi qui ne sait pas ? » C’est là que cela devient intéressant. On se rapproche de plus en plus du coeur de soi. Le bonheur n’est pas seulement un moment d’extase, mais une sensation profonde de bien-être, associée à une acceptation de la souffrance comme une partie intégrante de la condition humaine.

N’oubliez pas que plus vous réussirez à revenir à l’instant présent,
plus vous serez heureux.

Mais la souffrance ne rend quand même pas heureux ?

Non, bien-sûr, et il est inutile de le nier. Il s’agit de comprendre que notre conscience est beaucoup plus vaste que cette souffrance. Pour moi, le meilleur exemple -souvent utilisé par le Dalaï-Lama- est celui de la mère qui prend dans ses bras un enfant qui s’est fait mal : elle accepte la souffrance du petit, reconnaît qu’il est boulversé en cet instant, tout en sachant que sa douleur va s’atténuer. Elle ne panique pas, parce qu’elle sait que ça va passer. Essayons d’être une mère pour nous-mêmes : rappelons-nous que nous savons et ignorons beaucoup plus de choses que ce que nous pensons savoir et ignorer.

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Jon Kabat-Zinn est professeur de médecine émérite à l’Université du Massachusetts aux Etats-Unis et a fondé à Boston la Clinique de réduction du stress et le Centre pour la pleine conscience. Il a mis au point une formation pour réduire le stress fondée sur la pleine conscience (MBSR, Mindfulness-Based Stress Reduction). Cette méthode associe méditation et hatha yoga et propose à des personnes atteintes de pathologies chroniques d’apprendre à mieux supporter la maladie, la douleur et le stress. Aujourd’hui son approche est appliquée dans le monde entier.

Voici certains de ses livres :

    

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Merci et à bientôt ^_^

 

 

WakeUp #49 : Anti-dépresseur 100% naturel : le câlin !

Vous les connaissez sous le nom de gatés, câlinous ou câlins. Au-delà d’un simple geste et d’une simple marque d’affection, le câlin est un réel anti-dépresseur et ses vertus sont reconnues par de nombreux scientifiques. Dans un monde de plus en plus individualiste, le Free Hug comprenez « câlin gratuit » et la journée du câlin (le 21 janvier) ont même fait leur apparition tellement un câlin ça fait toujours du bien ! Mais comment cette marque d’affection aussi banale parvient-elle à nous apaiser autant ?

Le câlin, un besoin vital

Par moment vous allez avoir envie, que dis-je, vous allez avoir BESOIN d’un calin. La raison est simple, c’est une marque sociale d’affection et d’amour par laquelle passent tout plein d’émotions. Dans un câlin on donne de l’énergie, on se sent rassuré, protégé, on retrouve une estime de soi et on reprend des forces pour repartir de plus belle. En effet, étreindre quelqu’un est le meilleur antidépresseur que vous puissiez donner et recevoir.

Il apaise les tensions, les angoisses, réduit le stress et peut permettre de mieux supporter une douleur voire de remplir un vide émotionnel. Véritable antidépresseur 100% naturel et gratuit, le câlin est un vivier de communication…sans avoir à prononcer un seul mot.
Voici tous les avantages que vous pouvez facilement tirer à donner et recevoir des câlins :

  • Accroître votre patience
  • Renforcer l’estime de soi
  • Équilibrer votre système nerveux
  • Aider à surmonter la douleur
  • Renforcer le système immunitaire
  • Antistress et anti-anxiété
  • Preuves d’amour et de soutien

Pas besoin d’être en couple ou d’avoir plein d’amis pour donner et recevoir des calins ! Aujourd’hui, il existe la « calinothérapie » ou la thérapie par le câlin. Dans ces thérapies, vous apprendrez que le câlin est bon peu importe d’où il vient : d’un ami, d’un membre de la famille, d’un enfant, d’un inconnu ou de l’élu de votre cœur. Chacun a sa manière de faire, mais tous ont le même but : vous faire du bien !

Les effets du câlin sur notre corps

Les câlins sont des antidépresseurs 100% naturels dont nous avons vu les effets positifs considérables sur notre psychique. En fait, tout cela est dû à une série de réactions en chaîne des hormones qui se libèrent dans notre corps.

  • Libération des endorphines : hormones du bien-être
  • Libération d’ocytocine : hormone de l’affection et de l’attachement
  • Baisse de la tension artérielle
  • Baisse du rythme cardiaque

En effet, toutes ces réactions physiologiques entraînent un état d’apaisement et de confort absolu et en plus il dure. Grâce à cette combinaison physiologique, votre corps se met dans un état de bien-être et réduit seul le stress et les angoisses, car il augmente les preuves d’amour et de soutien.

D’où l’importance de donner un maximum de câlins à votre conjoint et à vos enfants ! Nous verrons d’ailleurs dans un autre article tout ce que les câlins peuvent apporter dans le quotidien de nos enfants !
Alors oui, il se peut que vous deveniez accro aux câlins, mais le seul risque c’est que votre entourage soit rassasié de vos étreintes ! Si tel est le cas, je vous propose de prendre pour un koala, animal symbole du câlin par excellence. Vous pouvez aussi découvrir les free hugs et surtout si vous en avez profitez-en pour câliner vos enfants à volonté tant qu’ils ne sont pas encore assez grands pour trouver ça « beurk » !

Et pour un vrai apaisement émotionnel plus en profondeur, associez vos tonnes de câlins à la méthode NERTI !

Pour en savoir plus sur la Méthode NERTI

Cliquez ici pour commander le livre Avec NERTI c’est fini !

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Cet article a été rédigé par Luc GEIGER,
Concepteur de la Méthode NERTI.
C’est donc lui qui s’exprime dans le « je » de cet article !

WakeUp #48 : Nos 5 choix face à une situation déplaisante

 

Pourquoi la plupart des personnes n’arrivent
pas à sortir d’une situation bloquante ?

Il arrive parfois dans la vie qu’une situation ne nous convienne pas ou ne nous convienne plus comme avant. Bien souvent, nous nous sentons démunis face à un travail qui ne nous plaît plus, une relation amoureuse ou amicale non satisfaisante, etc…. Que faire alors ?

Les 5 manières possibles de réagir aux situations déplaisantes

1 – JE PARS, je sors de la relation, je quitte la personne qui partage ma vie, je quitte ce travail qui ne me convient plus du tout, je change de lieu de vie ou de région ou de pays, je fais le choix de ne pas subir. Je fais le choix de ne plus souffrir au lieu de rester dans quelque chose qui ne me va plus.

2 – J’AGIS, je deviens pleinement créateur, je bascule en mode leader, je fais le choix d’agir pour créer une meilleure relation en m’exprimant mieux ou différemment, j’agis pour faire en sorte que la situation se transforme. Je profite de ce challenge que la vie m’apporte pour le transformer et m’améliorer.

Je me pose la question :
Qu’est-ce que je peux faire pour changer cette situation ?

3 – J’APPRENDS à aimer, j’apprends à embrasser la situation que je suis en train de vivre. De ce qui est. Cette situation me pousse peut-être à me positionner autrement face à mon conjoint, à un ami ou face à mon responsable hiérarchique. Qu’est-ce que la personne que j’aimerais devenir ferait dans cette situation-là ? Il y a souvent un écart entre la personne que l’on aimerait devenir et celle que l’on est dans le présent.

Je me pose la question :
Qu’est-ce que cette situation va m’apporter, en quoi est-ce une opportunité pour grandir ?

4 – JE MIXTE, je choisis de faire un mixte entre deux choix possibles. Dans un premier temps, je fais le choix de transformer la situation, je décide de tout donner pour améliorer les choses et de faire tout ce que je peux pour améliorer la situation. Puis dans un deuxième temps, pour en finir avec cette situation qui ne me convient vraiment plus, je peux vouloir tout arrêter et partir.

Je me pose la question :
Qu’est-ce je peux faire de plus ?

5 – JE SUBIS, c’est le choix de la plupart des personnes qui sont confrontées à une situation qui ne leur convient pas (ou plus). Croire que je ne suis pas assez bien…. c’est à cause de…… Je n’ai pas le choix…..etc, etc. Nous avons toujours le choix, ce sont juste les conséquences de nos choix que nous ne sommes pas toujours prêts à accepter et à accueillir.

Je me pose la question :
Qu’est-ce que j’ai à y gagner en restant ?

 

Pour terminer cet article, voici une citation de Marc Aurèle* que j’aime tant :

«Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé
et le courage de changer ce qui peut l’être
mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre.»

Marc Aurèle : Empereur romain, philosophe stoïcien (121 – 180 après J-C).

Cet article a été inspiré d’un Facebook Live avec David Laroche, Coach et Conférencier
qui nous donne 5 choix possibles pour sortir d’une situation bloquante, qu’elle quelle soit.

WakeUp #47 : Pourquoi la souffrance nous fait peur ?

 

La souffrance est ce qui fait le plus peur aux humains

Combien de fois ai-je entendu des gens me dire Je n’ai pas peur de la mort, mais j’ai peur de souffrir avant de mourir. La peur de souffrir est normale, mais elle a pris trop de place et a donné comme résultat une société qui veut à tout prix nier ou faire disparaître ce qui nous fait souffrir.

Dès notre jeune âge, quand nous tombons, il y a de suite un adulte qui nous dit que tout va bien se passer, que le bobo va disparaître avec un baiser ou une petite pommade. Nous ne pensons pas à dire à l’enfant qu’avoir mal fait partie de la vie et surtout nous ne lui apprenons pas à accepter ce mal.

Pourtant, c’est tellement facile d’apprendre quoi que ce soit à un enfant s’il sent notre acceptation, dans ce cas l’acceptation de la souffrance. Prenons l’exemple d’un enfant qui tombe et pleure beaucoup. Quelques fois, c’est plus par peur que par mal. En le prenant dans nos bras, posons-lui des questions en lui donnant bien le temps d’y répondre sans faire de commentaires:

Dis-moi où as-tu mal ? Est-ce que la sensation bouge ? As-tu eu peur en tombant ? Où ressens-tu la peur dans ton corps ? Est-ce que c’est gros ou petit ? Ferme tes yeux et regarde le mal et la peur qui sont là. Maintenant, imagine un beau soleil qui rayonne sur le mal et la peur. Laisse le soleil les réchauffer. Prends une bonne respiration et ouvre les yeux. 

Ce qui est vraiment important, c’est que l’enfant puisse sentir l’acceptation de la souffrance de la part de l’adulte. En général, j’ai pu constater que cette acceptation enseignée par l’adulte donne de très bons résultats. Cet enfant aura beaucoup plus de facilité à accepter la souffrance et à grandir grâce à certaines souffrances que s’il a appris à entretenir la peur.

Je sais qu’il n’est pas facile d’accepter de souffrir, car de nos jours, notre société est très influencée par le système médical qui SE BAT contre la souffrance, la maladie et la mort. Rappelons-nous que tous les systèmes sont un reflet des croyances des gens de la société. Lorsque de plus en plus de personnes vont commencer à accepter de souffrir et à voir d’autres aspects des situations souffrantes, nos systèmes vont être influencés et vont changer.

Il est donc tout à fait naturel et humain de souffrir, d’être triste, mais c’est la peur et le rejet (déni) de la souffrance qui l’amplifie. L’opposé de la peur et du rejet est l’acceptation. Comment arriver à l’accepter ? En l’observant véritablement. Observer, c’est être attentif à ce qui se passe dans vos trois corps, sans aucun jugement ou accusation de votre part.

Observer dans le corps physique se fait comme dans l’exemple de l’enfant qui vient de tomber. Ensuite, observer le corps émotionnel, c’est vérifier comment vous vous sentez. C’est surtout vous donner le droit de ressentir de la peur, de l’inquiétude, de la colère, de la culpabilité, etc. Il sera plus facile alors de mettre un mot sur ce que vous sentez, par exemple je me sens impuissant ou je me sens inquiet.

Observer le corps mental, c’est vérifier ce qui se passe dans votre tête. Quelles sont vos pensées, que disent les petites voix qui vous font peur ? Surtout, n’essayez pas de les faire taire. Notez seulement tout ce qui se passe et accueillez tout en sachant que vous avez le droit d’être un humain avec des forces et des faiblesses.

Le fait de bien observer en accueillant, en acceptant la situation souffrante, signifie que vous êtes centré, donc dans votre lumière. C’est cette dernière qui vous aidera à découvrir ce que vous avez à apprendre dans cette situation. Quel est l’aspect positif qui peut découler de cette situation ?

J’ai la chance d’entendre de nombreux témoignages de gens qui ont fait un bon cheminement grâce à leurs maladies et je veux vous partager deux exemples.

Un homme m’a dit avoir remercié son corps après une crise cardiaque. Il a dû arrêter toute activité pendant six mois ce qui lui a permis de réviser sa façon de vivre. Il a décidé de vivre dans la joie plutôt que de prendre la vie trop à cœur et de s’en faire pour tout et pour rien.

Une mère de trois jeunes enfants était très dépendante de son mari qui est mort rapidement d’un cancer. Pendant un an, la peur de l’avenir et la dépression la maintenait dans la souffrance. Et tout à coup, elle s’est rendu compte que cette situation l’avait forcée à prendre des décisions au sujet de la maison et des enfants, ce qu’elle n’avait jamais cru possible pour elle quand son mari était vivant. En réalisant qu’elle avait pu prendre contact avec des forces inconnues en elle, cela l’a beaucoup aidée à accepter la mort et elle a retrouvé la joie de vivre.

C’est à nous de décider si nous voulons croire que nous souffrons À CAUSE de quelqu’un ou d’une situation ou bien si nous souffrons POUR apprendre sur nous. Que choisissez-vous ?

Si nous croyons souffrir À CAUSE de…, nous continuerons à vouloir nous battre contre le coupable. Il n’y aura aucun changement positif dans notre vie et la souffrance peut durer longtemps. Si nous croyons que souffrir peut nous aider à apprendre sur nous-mêmes, nous nous ouvrons au nouveau, à l’inconnu et à un changement positif, ce qui diminue la souffrance rapidement.

Avec amour,

Lise Bourbeau

Cet article a été rédigé par Lise BOURBEAU,
Fondatrice de l’Ecole de Développement Personnel « Ecoute Ton Corps ».
C’est donc elle qui s’exprime dans le « je » de cet article !

 

WakeUp #46 : Réveillez la Meilleure Version de Vous-Même

 

Vous avez envie de transformer vos problématiques en opportunités de croissance personnelle ?

Vous voulez vous affirmer davantage face aux autres et gagner en confiance en vous ?

Vous aimeriez avoir des outils efficaces pour pouvoir les utiliser après ce stage dans votre vie quotidienne ?

Que serait votre vie si vous ressentiez davantage de joie et de confiance en vous ?

Je désire réveiller mes capacités et comprendre mon propre fonctionnement afin de mieux l’optimiser.

Cela m’intéresse, je veux en savoir plus !

Qu’est-ce que cela va vous apporter ?

Avoir plus d’énergie, de vitalité et de joie de vivre
Gérer vos émotions avec davantage d’autonomie
Découvrir et/ou développer vos capacités et ressources
Savoir vous affirmer et exprimer vos ressentis avec confiance
Créer de l’harmonie dans vos relations avec les autres
Vivre votre quotidien sereinement en sentant ce qui est juste pour vous

Les 7 clés pour développer votre confiance en vous et votre joie :

  • La Clarté, pour savoir ce que vous voulez dans votre vie,
  • Le Calme, pour comprendre comment vous vous sentez,
  • La Confiance, pour l’exprimer librement,
  • Le Courage, pour arriver à mettre en place ce que vous désirez,
  • La Constance, pour avancer à votre rythme,
  • La Conscience, pour s’engager envers vous-même,
  • La Créativité, pour trouver vos propres solutions et créer le meilleur dans votre vie.

Pour connaître les 7 clés pour développer la confiance et la joie
Cliquez ici pour réserver votre place !

Dans ce stage, en 12 étapes vous apprendrez à :

  • Clarifier votre vision, pourquoi c’est important pour vous ?
  • Définir votre propre modèle de la réussite,
  • Prendre conscience de vos croyances limitantes pour découvrir ce qui vous empêche d’avancer,
  • Créer une attitude mentale meilleure pour mieux gérer votre critique intérieure,
  • Développer votre détermination et votre focus pour trouver la direction que vous souhaitez,
  • Regagner en confiance, trouver vos propres valeurs et votre force intérieure,
  • Comprendre votre fonctionnement et le transformer en forces,
  • Accepter et vous donner le droit de réussir puis apprendre à lâcher-prise,
  • Accueillir et utiliser vos émotions pour communiquer avec le coeur,
  • Co-créer avec l’Univers,
  • Ajouter plus de fun et arrêter de vous prendre trop au sérieux,
  • Trouver vos solutions pour avoir de l’élan et aller vers l’abondance.

Pour découvrir les 12 étapes pour développer la confiance et la joie
Cliquez ici pour réserver votre place !

Dates et horaires du stage :

Samedi 23 septembre de 9h00 à 18h00
Dimanche 24 septembre de 9h30 à 17h00
Arrivée possible la veille : le 22 septembre à 17h00 – ce qui permet de faire connaissance et de profiter du lieu un peu plus longtemps (optionnel).

Tarifs du stage :

Tarif normal : 197€ par personne
Tarif pour couples et étudiants : 167€ par personne

Possibilité d’un paiement en 2 fois maxi.

Hébergement et pension complète non compris
Réservez directement auprès du Domaine du Taillé
04 75 87 10 38 – domainedutaille@wanadoo.fr

Nombre maximum de places : 10

Lieu du stage :

Domaine du Taillé – 1150 Chemin du Taillé – 07200 VESSEAUX
Téléphone : 04 75 87 10 38
E-mail : domainedutaille@wanadoo.fr
Site : domainedutaille.com
Page réservée aux stages de septembre : domainedutaille.com

Le matériel nécessaire ?… de quoi écrire.
Aucun pré-requis est nécessaire, juste votre implication et votre sourire !

 

Je veux participer au stage « Réveillez la Meilleure Version de Vous-même »
du 23 au 24 septembre 2017

Cliquez ici pour
vous inscrire dès maintenant !

 

Au grand plaisir de vous rencontrer et
de partager de délicieux moments ensemble !